Les syndicats sont presque tous à bord. « C’est sous les auspices du patron – Luca de Meo, le directeur général du groupe Renault – que trois des quatre organisations syndicales représentatives du Losange ont signé, mardi 14 décembre, un nouvel accord social triennal 2022-2024 pour la France, promettant aux usines tricolores du constructeur français un avenir industriel assorti d’embauches. En échange, le texte prévoit une réorganisation du travail et de nouvelles suppressions d’emplois dans les activités tertiaires et l’ingénierie. Baptisé « Re-nouveau France 2025 », le texte a été signé par la CFE-CGC, la CFDT et FO, trois syndicats représentant 76 % des 30 000 salariés de Renault en France (sur 170 000 dans le monde) » résume Le Monde.
Pour la direction c’est une victoire clés. C’est la première avancée claire et direction stratégique qui est validée de la sorte depuis la fin de l’ère Ghosn en 2018. « Ce dénouement, après treize semaines de négociations, constitue un succès pour M. de Meo et sa direction des ressources humaines. Le patron a convaincu les trois quarts de ses partenaires sociaux, y compris la CFE-CGC, premier syndicat de l’entreprise, dont l’électorat naturel – les ingénieurs, les équipes tertiaires, les fonctions supports – n’a pourtant pas été épargné par la direction depuis 2020. Seule la CGT a refusé d’entériner l’accord » ajoute le quotidien.
Les objectifs sont posés. D’ici 2025, la marque au losange veut produire 700 000 véhicules chaque année, soit une progression de 38% par rapport à 2020 et de 12% par rapport à la dernière année. 2 000 personnes seront embauchées pour se charger de la production et 500 pour l’ingénierie. En France, une dizaine de véhicules seront produits pour la plupart des électriques. Signe que l’entreprise veut devenir un constructeur du futur et tourner définitivement la page des déboires récents.
Pour la direction c’est une victoire clés. C’est la première avancée claire et direction stratégique qui est validée de la sorte depuis la fin de l’ère Ghosn en 2018. « Ce dénouement, après treize semaines de négociations, constitue un succès pour M. de Meo et sa direction des ressources humaines. Le patron a convaincu les trois quarts de ses partenaires sociaux, y compris la CFE-CGC, premier syndicat de l’entreprise, dont l’électorat naturel – les ingénieurs, les équipes tertiaires, les fonctions supports – n’a pourtant pas été épargné par la direction depuis 2020. Seule la CGT a refusé d’entériner l’accord » ajoute le quotidien.
Les objectifs sont posés. D’ici 2025, la marque au losange veut produire 700 000 véhicules chaque année, soit une progression de 38% par rapport à 2020 et de 12% par rapport à la dernière année. 2 000 personnes seront embauchées pour se charger de la production et 500 pour l’ingénierie. En France, une dizaine de véhicules seront produits pour la plupart des électriques. Signe que l’entreprise veut devenir un constructeur du futur et tourner définitivement la page des déboires récents.