La marque au losange mise sur l’électrique et promet que les prochains modèles phares seront produits en France. Renault a en effet communiqué à la presse jeudi 6 octobre que les versions électriques de Scénic et 4L seront produites en France, en plus de la R5 déjà annoncée.
« Le groupe Renault souligne avec cette annonce qu'il «place définitivement la France au cœur de ses activités industrielles électriques», a souligné le groupe dans un communiqué. Le constructeur a fait ces annonces alors qu'il doit préciser début novembre les détails de sa révolution interne, la scission de ses activités thermiques qui rétrogradent et de l'électrique qui accélère » commente Le Figaro.
Ce sont les sites de production de Maubeuge et de Douai dans le département du Nord qui bénéficieront de cette décision. « Son nouveau pôle «ElectriCity», qui rassemble trois de ses usines dans le nord de la France, produit déjà la Mégane électrique (à Douai), auxquels s'ajouteront le nouveau Kangoo à batterie, et le modèle électrique qui remplacera la Micra de Nissan, le partenaire de Renault. La marque au losange vise la production de 700.000 véhicules en France à horizon 2024, et des ventes 100% électriques en 2030 » ajoute le quotidien.
L’exercice de communication est agréable pour la marque qui a plusieurs fois annoncé dans son histoire des suppressions de lignes de production et de postes. Il y a deux ans seulement la suppression de 2 500 postes avait été annoncée. Désormais ce sont autant de postes qui sont annoncés pour la période 2022-2024. La direction assurant avoir déjà recruté près de 1 000 personnes depuis le début de l’année.
Outre ces deux usines du Nord, d’autres lieux de production sont annoncés comme au cœur de la stratégie industrielle du groupe avec les usines de Dieppe, Sandouville, Batilly et Le Mans.
« Le groupe Renault souligne avec cette annonce qu'il «place définitivement la France au cœur de ses activités industrielles électriques», a souligné le groupe dans un communiqué. Le constructeur a fait ces annonces alors qu'il doit préciser début novembre les détails de sa révolution interne, la scission de ses activités thermiques qui rétrogradent et de l'électrique qui accélère » commente Le Figaro.
Ce sont les sites de production de Maubeuge et de Douai dans le département du Nord qui bénéficieront de cette décision. « Son nouveau pôle «ElectriCity», qui rassemble trois de ses usines dans le nord de la France, produit déjà la Mégane électrique (à Douai), auxquels s'ajouteront le nouveau Kangoo à batterie, et le modèle électrique qui remplacera la Micra de Nissan, le partenaire de Renault. La marque au losange vise la production de 700.000 véhicules en France à horizon 2024, et des ventes 100% électriques en 2030 » ajoute le quotidien.
L’exercice de communication est agréable pour la marque qui a plusieurs fois annoncé dans son histoire des suppressions de lignes de production et de postes. Il y a deux ans seulement la suppression de 2 500 postes avait été annoncée. Désormais ce sont autant de postes qui sont annoncés pour la période 2022-2024. La direction assurant avoir déjà recruté près de 1 000 personnes depuis le début de l’année.
Outre ces deux usines du Nord, d’autres lieux de production sont annoncés comme au cœur de la stratégie industrielle du groupe avec les usines de Dieppe, Sandouville, Batilly et Le Mans.