Les processus de succession varient selon les groupes. Alors que certains PDG sur la fin terminent leurs mandats en même temps qu’une personnalité émerge et monte en puissance, d’autres attirent les projecteurs jusqu’au bout. Sans conteste, Carlos Ghosn est de la deuxième catégorie.
En mai prochain, le PDG du constructeur automobile va voir son mandat s’achever. « L'impétrant devrait être désigné au conseil d'administration de février prochain, pour que les actionnaires puissent donner leur blanc-seing lors de la prochaine assemblée générale. Selon nos informations, des chasseurs de têtes ont été mandatés et les candidats sont en train d'être auditionnés. Pour Carlos Ghosn, les conditions idéales sont réunies pour tirer son chapeau : Renault devrait à nouveau afficher en février des résultats records , et les volumes de ventes sont au plus haut » résume le journal Les Echos.
Avec une telle aura, le scénario le plus probable est que Ghosn face avec Renault ce qu’il a fait avec Nissan : conserver la présidence et passer la main sur la direction. Il restera ainsi à la tête de l’alliance Renault Nissan Mitsubishi, dont sa personne est encore une ferme garantie pour l’avenir de ce nouveau poids lourd mondial.
Parmi les pistes les plus probables pour l’opérationnel de Renault, les observateurs misent sur une promotion interne. Une piste que les informations des Echos semblent confirmer « Quelques noms, parmi les membres du comité exécutif, circulent déjà. Dans cette liste non exhaustive, on trouve celui de Thierry Bolloré, bien sûr : entré chez Renault en 2012, cet ancien de Michelin et de Faurecia, aujourd'hui directeur de la compétitivité, fait déjà figure de numéro deux. Mais aussi ceux de Thierry Koskas, le directeur commercial, ou encore de l'allemand Stefan Mueller, directeur délégué à la performance. » Reste à voir quelle sera la position du gouvernement dans ce dossier.
En mai prochain, le PDG du constructeur automobile va voir son mandat s’achever. « L'impétrant devrait être désigné au conseil d'administration de février prochain, pour que les actionnaires puissent donner leur blanc-seing lors de la prochaine assemblée générale. Selon nos informations, des chasseurs de têtes ont été mandatés et les candidats sont en train d'être auditionnés. Pour Carlos Ghosn, les conditions idéales sont réunies pour tirer son chapeau : Renault devrait à nouveau afficher en février des résultats records , et les volumes de ventes sont au plus haut » résume le journal Les Echos.
Avec une telle aura, le scénario le plus probable est que Ghosn face avec Renault ce qu’il a fait avec Nissan : conserver la présidence et passer la main sur la direction. Il restera ainsi à la tête de l’alliance Renault Nissan Mitsubishi, dont sa personne est encore une ferme garantie pour l’avenir de ce nouveau poids lourd mondial.
Parmi les pistes les plus probables pour l’opérationnel de Renault, les observateurs misent sur une promotion interne. Une piste que les informations des Echos semblent confirmer « Quelques noms, parmi les membres du comité exécutif, circulent déjà. Dans cette liste non exhaustive, on trouve celui de Thierry Bolloré, bien sûr : entré chez Renault en 2012, cet ancien de Michelin et de Faurecia, aujourd'hui directeur de la compétitivité, fait déjà figure de numéro deux. Mais aussi ceux de Thierry Koskas, le directeur commercial, ou encore de l'allemand Stefan Mueller, directeur délégué à la performance. » Reste à voir quelle sera la position du gouvernement dans ce dossier.