En 2016 Renault a vendu plus de trois millions de véhicules et réalisé un chiffre d’affaires de 51,24 milliards d’euros pour une marge opérationnelle de 6,4%. Des chiffres records qui permettent à la marque de doubler pour la première fois son allié Nissan. Pour Les Echos , c’est un « rééquilibrage des forces historique au sein de leur alliance. » « Désormais, laisse entendre Carlos Ghosn, le patron à double casquette, l'évolution de cette structure est à l'ordre du jour. Fort de ses résultats, Renault devrait accélérer encore lors de son prochain plan stratégique, en octobre, avec l'objectif d'une marge opérationnelle de 7 % et d'un chiffre d'affaires de 70 milliards en 2022. En quelques années, le Losange a parcouru beaucoup de chemin en misant sur la diversification : celle de sa gamme de véhicules (32 nouveaux modèles lancés depuis 2010), de ses débouchés géographiques et de ses partenaires - en ouvrant ses usines à d'autres constructeurs » continue le quotidien économique.
Si le PDG globetrotteur – il divise ses mois entre le Japon et la France, sans parler des autres voyages régulier – se frotte les mains, c’est parce que ces résultats sont sans conteste le fruit d’une méthode dont il a le secret. « Aux commandes de Renault depuis plus de onze ans, Carlos Ghosn est entièrement comptable de la situation actuelle. Plongé à la limite de la faillite en 2009 à la suite de la crise financière mondiale, le groupe a annoncé ce vendredi 10 février les résultats les plus brillants de son histoire. Il a vendu 13 % de voitures de plus qu’en 2015, a accru son chiffre d’affaires de près de 6 milliards d’euros et ses bénéfices ont bondi de près de 38 %, à 3,3 milliards d’euros. Une deuxième année de très forte croissance qui vient effacer les critiques récurrentes sur la fragilité de Renault par rapport à son allié japonais Nissan et sur l’abandon progressif de la France par un constructeur aimanté par les seules perspectives des marchés émergents » commente Le Monde. Toujours décrié, il jubile devant ces chiffres plus explicites que lui : la méthode Ghosn fonctionne.
Si le PDG globetrotteur – il divise ses mois entre le Japon et la France, sans parler des autres voyages régulier – se frotte les mains, c’est parce que ces résultats sont sans conteste le fruit d’une méthode dont il a le secret. « Aux commandes de Renault depuis plus de onze ans, Carlos Ghosn est entièrement comptable de la situation actuelle. Plongé à la limite de la faillite en 2009 à la suite de la crise financière mondiale, le groupe a annoncé ce vendredi 10 février les résultats les plus brillants de son histoire. Il a vendu 13 % de voitures de plus qu’en 2015, a accru son chiffre d’affaires de près de 6 milliards d’euros et ses bénéfices ont bondi de près de 38 %, à 3,3 milliards d’euros. Une deuxième année de très forte croissance qui vient effacer les critiques récurrentes sur la fragilité de Renault par rapport à son allié japonais Nissan et sur l’abandon progressif de la France par un constructeur aimanté par les seules perspectives des marchés émergents » commente Le Monde. Toujours décrié, il jubile devant ces chiffres plus explicites que lui : la méthode Ghosn fonctionne.