L’inflation continue son inquiétante progression plus d’un an après le début de la guerre en Ukraine. « Selon l'Insee, en février, le taux d'inflation a de nouveau progressé, atteignant 6,2%. Une évolution redoutée, poursuivant la dynamique observée en janvier. Le montant des factures ne baissera pas dans l'immédiat, selon les projections. Dans leur dernière note de conjoncture, publiée début février, les statisticiens nationaux s'attendaient à une inflation stagnant à 6% ce mois-ci, malgré la « hausse de 15 % du tarif réglementé de l'électricité » en vigueur depuis quelques semaines. Sur le plus long terme, le taux pourrait en revanche baisser, atteignant 5% en juin, mais « surtout par “effet de base”, s'agissant notamment des produits pétroliers », estimait en outre l'Insee dans ses projections » relève Le Figaro.
La hausse n’est pas une surprise et correspond aux estimations d’inflation durant tout le premier semestre annoncé depuis l’an dernier. Ensuite, la Banque de France table sur une baisse de 4% à la fin de l’année. Si les prix de l’énergie continuent à être responsables de la situation, d’autres facteurs sont entrés en jeu. « Prenant le relais de l'énergie, l'alimentation est devenue peu à peu un élément central, alors que les hausses engendrées par la flambée de l'électricité, du gaz et du pétrole se sont désormais diffusées dans l'économie. La cherté de la vie reste au centre de toutes les attentions : hautement inflammable, le sujet revient régulièrement dans les interventions des politiques de l'opposition comme de la majorité », poursuit le quotidien.
Le mois de mars sera scruté de près dans ce domaine de l’alimentation et des produits du quotidien. Les distributeurs ont multiplié les annonces catastrophistes ces derniers jours. Le patron de U annonçant carrément une inflation de 10% prochainement. Une analyse balayée du revers de la main par le ministère de l’Économie et des finances.
La hausse n’est pas une surprise et correspond aux estimations d’inflation durant tout le premier semestre annoncé depuis l’an dernier. Ensuite, la Banque de France table sur une baisse de 4% à la fin de l’année. Si les prix de l’énergie continuent à être responsables de la situation, d’autres facteurs sont entrés en jeu. « Prenant le relais de l'énergie, l'alimentation est devenue peu à peu un élément central, alors que les hausses engendrées par la flambée de l'électricité, du gaz et du pétrole se sont désormais diffusées dans l'économie. La cherté de la vie reste au centre de toutes les attentions : hautement inflammable, le sujet revient régulièrement dans les interventions des politiques de l'opposition comme de la majorité », poursuit le quotidien.
Le mois de mars sera scruté de près dans ce domaine de l’alimentation et des produits du quotidien. Les distributeurs ont multiplié les annonces catastrophistes ces derniers jours. Le patron de U annonçant carrément une inflation de 10% prochainement. Une analyse balayée du revers de la main par le ministère de l’Économie et des finances.