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Le groupe Capgemini prend la suite d’Atos quant à la gestion informatique du système des radars automatiques pour quatre ans.
Un article en ligne du journal L’Express explique l’importance de cette gestion informatique.
Un article en ligne du journal L’Express explique l’importance de cette gestion informatique.
« Une surprise »
L’article de L’Express souligne la « surprise » du changement de groupe à la tête de la gestion informatique du système des radars automatiques français, expliquant que le « développement informatique du système des radars automatiques ne sera pas, pour la première fois depuis son lancement en 2003, assuré par Atos. »
Selon les informations du journal, « le ministère de l'Intérieur, à travers son Agence nationale de traitement automatisé des infractions (Antai), vient de décider d'attribuer le marché à la société Capgemini, pour les quatre prochaines années. Un contrat de quelque 15 millions d'euros par an. »
L’Express précise que « selon plusieurs proches du dossier, ‘c'est une décision politique’ », ajoutant qu’ « après quatre ‘mandats’ consécutifs, reconduire une cinquième fois l'entreprise de l'ex-ministre de l'Economie et des Finances, Thierry Breton, ‘c'était reconnaître qu'il n'existe aucune concurrence, qu'il s'agit d'un contrat éternel’.»
Ainsi, citant les proches du dossier, l’article souligne que « le choix de Capgemini ‘n'est pas non plus le fruit du hasard’: son PDG, Paul Hermelin, ancien directeur de cabinet de Dominique Strauss-Kahn, est, "c'est connu, un ami personnel du président François Hollande’. »
Toutefois, l’article explique que « c'est néanmoins une surprise, alors que ‘Cap a été au coeur d'un cafouillage avec l'ANTS’, l'Agence nationale des titres sécurisés, également sous tutelle de Beauvau et dont la mission est, notamment, de délivrer les passeports. » Il ajoute que « l'ANTS loge au même étage de la Tour Montparnasse que l'Antai et a même partagé durant plus d'un an, d'octobre 2013 à janvier 2015, le même directeur. »
Selon les informations du journal, « le ministère de l'Intérieur, à travers son Agence nationale de traitement automatisé des infractions (Antai), vient de décider d'attribuer le marché à la société Capgemini, pour les quatre prochaines années. Un contrat de quelque 15 millions d'euros par an. »
L’Express précise que « selon plusieurs proches du dossier, ‘c'est une décision politique’ », ajoutant qu’ « après quatre ‘mandats’ consécutifs, reconduire une cinquième fois l'entreprise de l'ex-ministre de l'Economie et des Finances, Thierry Breton, ‘c'était reconnaître qu'il n'existe aucune concurrence, qu'il s'agit d'un contrat éternel’.»
Ainsi, citant les proches du dossier, l’article souligne que « le choix de Capgemini ‘n'est pas non plus le fruit du hasard’: son PDG, Paul Hermelin, ancien directeur de cabinet de Dominique Strauss-Kahn, est, "c'est connu, un ami personnel du président François Hollande’. »
Toutefois, l’article explique que « c'est néanmoins une surprise, alors que ‘Cap a été au coeur d'un cafouillage avec l'ANTS’, l'Agence nationale des titres sécurisés, également sous tutelle de Beauvau et dont la mission est, notamment, de délivrer les passeports. » Il ajoute que « l'ANTS loge au même étage de la Tour Montparnasse que l'Antai et a même partagé durant plus d'un an, d'octobre 2013 à janvier 2015, le même directeur. »