Faire du bateau n’est plus tellement un privilège de riches. C’est la conclusion d’une enquête de la région et la CCI d’Occitanie relayée par le quotidien Les Echos . Il apparait ainsi que l’essor de pratiques telles que la propriété partagée ont métamorphosé le secteur. « En clair, avec ce système, les bateaux n'appartiennent plus à des propriétaires partageant les frais, mais à des entreprises qui en assurent la gestion. Et même si le phénomène est encore loin de se généraliser, les professionnels ont intérêt à s'y intéresser » raconte le quotidien.
Les intérêts sont multiples. Disposer d’un bateau plus grand en étant un des propriétaires. Mais aussi continue l’article, ce peut être l’occasion d’avoir plusieurs bateaux à utiliser dans plusieurs ports. « Sur un même bateau, on peut avoir successivement un propriétaire, un locataire et une entreprise du CAC 40 qui le loue pour un événement. Chacun des trois n'attend pas du tout le même service du port. Conséquence, la longueur du bateau n'est plus le seul critère de tarification, nous faisons du "yield" en fonction du service attendu, d'autant que la consommation de fluides n'est plus du tout la même » explique aux Echos le directeur des ports de la CCI, Franck Dosne.
Cette économie est mise en avant par la CCI qui y voit la possibilité de soutenir le secteur dans une période où les dépenses dans le secondaire ou dans les loisirs sont en évolution constante. L’idée est de montrer que le bateau n’est pas un privilège de riche et qu’il existe des moyens de ne pas louer mais de rentabiliser son acquisition en partageant les charges. Une démarche dont le succès dépend beaucoup du choix et du profil des autres propriétaires. Si les visions et projets sont compatibles alors l’aventure s’avère gagnante pour tous.
Les intérêts sont multiples. Disposer d’un bateau plus grand en étant un des propriétaires. Mais aussi continue l’article, ce peut être l’occasion d’avoir plusieurs bateaux à utiliser dans plusieurs ports. « Sur un même bateau, on peut avoir successivement un propriétaire, un locataire et une entreprise du CAC 40 qui le loue pour un événement. Chacun des trois n'attend pas du tout le même service du port. Conséquence, la longueur du bateau n'est plus le seul critère de tarification, nous faisons du "yield" en fonction du service attendu, d'autant que la consommation de fluides n'est plus du tout la même » explique aux Echos le directeur des ports de la CCI, Franck Dosne.
Cette économie est mise en avant par la CCI qui y voit la possibilité de soutenir le secteur dans une période où les dépenses dans le secondaire ou dans les loisirs sont en évolution constante. L’idée est de montrer que le bateau n’est pas un privilège de riche et qu’il existe des moyens de ne pas louer mais de rentabiliser son acquisition en partageant les charges. Une démarche dont le succès dépend beaucoup du choix et du profil des autres propriétaires. Si les visions et projets sont compatibles alors l’aventure s’avère gagnante pour tous.