Les moyens de ses ambitions. Facebook confirme que l’annonce estivale du lancement d’un réseau de connexion internet d’un nouveau genre n’était pas uniquement un coup marketing. « Mark Zuckerberg l'avait annoncé en grande pompe cet été : le nouvel objectif de Facebook est de bâtir la future plateforme de connexion à Internet, le metaverse. Ce terme venu de la science-fiction désigne un monde virtuel parallèle au monde réel, accessible via des lunettes de réalité virtuelle ou augmentée, où l'internaute peut vivre une autre vie, gagner de l'argent, communiquer et travailler autrement... » rapporte Le Figaro .
Dans une communication officielle du groupe, lundi 18 octobre, on apprend ainsi qu’un plan de recrutement de 10 000 personnes dans l’UE est envisagé dans les cinq prochaines années. Des profils très spécifiques sont recherchés avec pour ambition d’innover et de déployer une plateforme de pointe.
En annonçant la nouvelle, Facebook s’est lance dans un panégyrique des qualités des ingénieurs européens : « qu'il s'agisse de la biotechnologie allemande aidant à développer le tout premier vaccin à ARNm ou de la coalition de néo-banques européennes ouvrant la voie à l'avenir de la finance (...) , tandis que la Suède est en passe de devenir la première société sans numéraire au monde d'ici 2023. (…) Nous espérons investir davantage dans les talents européens et continuer à innover en Europe, pour l'Europe et le monde. »
« Aux États-Unis, Facebook a monté une division dédiée à son projet de metaverse, qui regroupe ses effectifs travaillant sur les casques de réalité virtuelle (Oculus), sur un projet de lunettes de réalité augmentée, mais aussi sur l'élaboration d'une interface cerveau-machine permettant de naviguer sur Internet via des gestes. Facebook souhaite également concevoir son propre système d'exploitation pour ces futurs appareils. Ces activités représentent 20% des offres d'emploi de Facebook outre-Atlantique » poursuit Le Figaro.
Avec cette annonce choc, le réseau social rappelle qu’il peut etre un employeur de taille dans l’UE au moment où les dossiers qui le visent s’accumulent sur les bureaux de la Commission européenne. Que ce soit dans le domaine de la concurrence, de l’information, de la fiscalité ou des pratiques internes, l’exécutif multiplie les fronts et griefs avec le premier réseau social.
Dans une communication officielle du groupe, lundi 18 octobre, on apprend ainsi qu’un plan de recrutement de 10 000 personnes dans l’UE est envisagé dans les cinq prochaines années. Des profils très spécifiques sont recherchés avec pour ambition d’innover et de déployer une plateforme de pointe.
En annonçant la nouvelle, Facebook s’est lance dans un panégyrique des qualités des ingénieurs européens : « qu'il s'agisse de la biotechnologie allemande aidant à développer le tout premier vaccin à ARNm ou de la coalition de néo-banques européennes ouvrant la voie à l'avenir de la finance (...) , tandis que la Suède est en passe de devenir la première société sans numéraire au monde d'ici 2023. (…) Nous espérons investir davantage dans les talents européens et continuer à innover en Europe, pour l'Europe et le monde. »
« Aux États-Unis, Facebook a monté une division dédiée à son projet de metaverse, qui regroupe ses effectifs travaillant sur les casques de réalité virtuelle (Oculus), sur un projet de lunettes de réalité augmentée, mais aussi sur l'élaboration d'une interface cerveau-machine permettant de naviguer sur Internet via des gestes. Facebook souhaite également concevoir son propre système d'exploitation pour ces futurs appareils. Ces activités représentent 20% des offres d'emploi de Facebook outre-Atlantique » poursuit Le Figaro.
Avec cette annonce choc, le réseau social rappelle qu’il peut etre un employeur de taille dans l’UE au moment où les dossiers qui le visent s’accumulent sur les bureaux de la Commission européenne. Que ce soit dans le domaine de la concurrence, de l’information, de la fiscalité ou des pratiques internes, l’exécutif multiplie les fronts et griefs avec le premier réseau social.