Les jeux d’argent vont bien. Alors que pour la plupart des entreprises introduites en bourse ces derniers mois, l’aventure s’est muée en désastre, la FDJ s’en sort très bien. « FDJ s’affiche parmi les plus fortes hausses de cette séance de jeudi à la Bourse de Paris. A plus de 35 euros, le titre de l’opérateur de jeux d’argent et de hasard se paie même le luxe d’inscrire un nouveau plus haut historique et un gain de plus de 80% depuis son introduction en Bourse, en novembre 2019 » détaille la rubrique « Investir » des Echos .
Le troisième trimestre a été bon et l’annonce des chiffres a rassuré les investisseurs. Le chiffre d’affaires a été stable par rapport à 2019 durant cette période avec une augmentation de 6% des mises.
« La période a été marquée par un été atypique, au cours duquel la Française des Jeux a bénéficié de facteurs favorables, notamment un calendrier de manifestations sportives fourni à la suite du décalage de nombreux événements initialement prévus au deuxième trimestre. Les paris sportifs s’inscrivent ainsi en forte hausse de 27%, pour une légère progression de l’activité de loterie (+1%), qui pèse toujours plus des trois quarts des mises, dont un +2% pour les jeux de tirage instantané » ajoute le quotidien économique.
L’année n’est pas encore sauvée. En comparaison avec 2019, les mises déjà effectuées enregistrent une baisse de 10% de janvier à fin septembre. Mais c’est mieux que fin juin où mises et chiffre d’affaires étaient en baisse de 18% et 15%. Avec une tendance qui devrait être la même pour le dernier trimestre, FDJ estime que la crise est passée. Et si l’année est moins bonne c’est parce que le rebond n’aura pas compensé en totalité le trou enregistré au printemps. Une situation que les investisseurs semblent avoir bien comprise.
Le troisième trimestre a été bon et l’annonce des chiffres a rassuré les investisseurs. Le chiffre d’affaires a été stable par rapport à 2019 durant cette période avec une augmentation de 6% des mises.
« La période a été marquée par un été atypique, au cours duquel la Française des Jeux a bénéficié de facteurs favorables, notamment un calendrier de manifestations sportives fourni à la suite du décalage de nombreux événements initialement prévus au deuxième trimestre. Les paris sportifs s’inscrivent ainsi en forte hausse de 27%, pour une légère progression de l’activité de loterie (+1%), qui pèse toujours plus des trois quarts des mises, dont un +2% pour les jeux de tirage instantané » ajoute le quotidien économique.
L’année n’est pas encore sauvée. En comparaison avec 2019, les mises déjà effectuées enregistrent une baisse de 10% de janvier à fin septembre. Mais c’est mieux que fin juin où mises et chiffre d’affaires étaient en baisse de 18% et 15%. Avec une tendance qui devrait être la même pour le dernier trimestre, FDJ estime que la crise est passée. Et si l’année est moins bonne c’est parce que le rebond n’aura pas compensé en totalité le trou enregistré au printemps. Une situation que les investisseurs semblent avoir bien comprise.