Dans des milliers de foyers, ce mercredi matin était un matin de gueule de bois. Avec la mise en place de la plateforme Parcoursup, le trac et l’impatience étaient à leur comble pour les 812 000 étudiants qui attendaient les résultats de leurs choix pour leurs premiers pas dans l’enseignement supérieur. Une grande douche froide pour une grande partie d’entre eux si l’on en croit les premiers chiffres. « Plus de la moitié des 812 000 candidats ont découvert, en se connectant à partir de 18 heures, une réponse favorable de la part d’au moins l’une des formations auxquelles ils avaient postulé. Pour les autres, c’est donc l’attente » résume Le Monde.
Le gouvernement et les responsables de la plateforme cherchent à rassurer en expliquant que les désistements des personnes acceptées vont libérer beaucoup de places. N’empêche que pour des dizaines de milliers d’entre eux, la réponse tant attendue n’en est pas une. « Le nombre de candidats sans proposition dans l’enseignement supérieur est destiné à évoluer fortement dans les prochains jours. On ne cesse de le répéter du côté du ministère, cette date ne doit aucunement apparaître comme « fatidique » pour cette procédure mise en place pour la première fois cette année. Déjà mercredi 23 mai au matin, 436 500 candidats avaient reçu au moins une proposition, soit 17 500 personnes en plus. La raison est que pendant la nuit plus de 63 000 candidats ont accepté une des propositions qui leur avaient été faites, et libéré environ 55 000 places. Le ministère espèrent que 350 000 places seront ainsi libérées dans les dix prochains jours » écrit Le Monde.
En cause, une anomalie difficile à comprendre avec l’absence de classement des préférences. « Auparavant, ce classement permettait à l’algorithme d’APB de leur proposer automatiquement une seule formation, la plus haute possible, libérant immédiatement leurs autres vœux pour d’autres candidats » explique le quotidien. A cela s’ajoute la particularité de la classe 2000 qui est nettement plus nombreuse avec l’arrivée au bac des babyboomers de cette année-là. Nouveautés et particularités qui n’amènent qu’à une seule certitude : le nombre de déçus aura beau baisser ces prochaines années, il ne sera jamais nul.
Le gouvernement et les responsables de la plateforme cherchent à rassurer en expliquant que les désistements des personnes acceptées vont libérer beaucoup de places. N’empêche que pour des dizaines de milliers d’entre eux, la réponse tant attendue n’en est pas une. « Le nombre de candidats sans proposition dans l’enseignement supérieur est destiné à évoluer fortement dans les prochains jours. On ne cesse de le répéter du côté du ministère, cette date ne doit aucunement apparaître comme « fatidique » pour cette procédure mise en place pour la première fois cette année. Déjà mercredi 23 mai au matin, 436 500 candidats avaient reçu au moins une proposition, soit 17 500 personnes en plus. La raison est que pendant la nuit plus de 63 000 candidats ont accepté une des propositions qui leur avaient été faites, et libéré environ 55 000 places. Le ministère espèrent que 350 000 places seront ainsi libérées dans les dix prochains jours » écrit Le Monde.
En cause, une anomalie difficile à comprendre avec l’absence de classement des préférences. « Auparavant, ce classement permettait à l’algorithme d’APB de leur proposer automatiquement une seule formation, la plus haute possible, libérant immédiatement leurs autres vœux pour d’autres candidats » explique le quotidien. A cela s’ajoute la particularité de la classe 2000 qui est nettement plus nombreuse avec l’arrivée au bac des babyboomers de cette année-là. Nouveautés et particularités qui n’amènent qu’à une seule certitude : le nombre de déçus aura beau baisser ces prochaines années, il ne sera jamais nul.