Quand Renault pleure, Peugeot rit. Pendant les mois de feuilleton Renault, il aurait été une erreur de mettre les constructeurs français hors-jeu trop vite. Dans une interview donnée au quotidien Les Echos, Robert Peugeot s’est félicité des résultats du groupe. Le représentant de la famille Peugeot, un des actionnaires majoritaires du groupe, a même assuré que la réussite de l’opération Opel donnait des coudées franches. « Nous avons soutenu dès le départ le projet Opel. Si une autre occasion se présente, ce n'est pas nous qui freinerons. Carlos (Tavares ndlr) le sait » explique l’hériter de la famille industrielle.
Robert Peugeot a eu beau vite assurer que ce n’était pas un sous-entendu et qu’aucun dossier n’était à l’étude, les pronostics vont bon train. « Fiat Chrysler est régulièrement cité comme un candidat possible à de futures opérations de consolidation avec PSA. « Avec eux, comme avec d'autres, les planètes pourraient être alignées », ajoute Robert Peugeot. Le puissant industriel se place ainsi dans la droite ligne du patron du constructeur français : début mars, Carlos Tavares avait confirmé que cette piste était sur la table. « Tout est ouvert, si on gagne de l'argent, on peut rester maître de son avenir, on peut rêver de tout », avait déclaré le PDG de PSA, en marge du salon de l'automobile, à Genève » compile Le Figaro.
« Ces déclarations interviennent quelques semaines après que le patron de PSA, Carlos Tavares, a confirmé son ambition de revenir sur le marché américain. Ce retour ne sera toutefois pas traditionnel : « nous ferons cela d'une manière très créative et disruptive », a-t-il tenu à préciser, évoquant une « approche fraîche du marketing et de la distribution ». Le constructeur français marquerait ainsi son grand retour au pays de l'Oncle Sam, après plus de trente ans d'absence » poursuit le quotidien français.
Robert Peugeot a eu beau vite assurer que ce n’était pas un sous-entendu et qu’aucun dossier n’était à l’étude, les pronostics vont bon train. « Fiat Chrysler est régulièrement cité comme un candidat possible à de futures opérations de consolidation avec PSA. « Avec eux, comme avec d'autres, les planètes pourraient être alignées », ajoute Robert Peugeot. Le puissant industriel se place ainsi dans la droite ligne du patron du constructeur français : début mars, Carlos Tavares avait confirmé que cette piste était sur la table. « Tout est ouvert, si on gagne de l'argent, on peut rester maître de son avenir, on peut rêver de tout », avait déclaré le PDG de PSA, en marge du salon de l'automobile, à Genève » compile Le Figaro.
« Ces déclarations interviennent quelques semaines après que le patron de PSA, Carlos Tavares, a confirmé son ambition de revenir sur le marché américain. Ce retour ne sera toutefois pas traditionnel : « nous ferons cela d'une manière très créative et disruptive », a-t-il tenu à préciser, évoquant une « approche fraîche du marketing et de la distribution ». Le constructeur français marquerait ainsi son grand retour au pays de l'Oncle Sam, après plus de trente ans d'absence » poursuit le quotidien français.