Peu importe l’avis des pessimistes, il n’a fallu que quelques mois à PSA pour prouver que la stratégie était la bonne. Quand le constructeur français annonce l’acquisition en aout dernier d’Opel, nombre d’observateurs estimaient que la marque allemande allait plomber le groupe. Finalement, PSA jubile en annonçant quelques mois plus tard une progression de 24% de son résultat opérationnel pour l’année 2017.
« L'an dernier, le chiffre d'affaires de PSA a augmenté de 20,7 %, à 65,21 milliards d'euros, avec 3,63 millions de véhicules vendus (+ 15,4%). À taux de change et périmètre constants, la progression reste très importante, à 12,9 %. Surtout, le résultat opérationnel du groupe évolue dans des proportions similaires au chiffre d'affaires: + 23,4 %, à 3,99 milliards d'euros. Et cette performance tient compte de l'intégration d'Opel-Vauxhall sur les cinq derniers mois de l'année » précise Le Figaro.
C’est une très belle performance globale d’autant qu’Opel n’est pas devenu rentable pour autant. « La marque allemande avait de quoi inquiéter: elle avait, avec constance, perdu de l'argent pendant les seize dernières années passées dans le giron de l'américain General Motors. Et elle en a encore perdu en 2017. PSA fait état d'une perte opérationnelle de 179 millions d'euros sur les cinq mois où elle a été intégrée dans les comptes du groupe français » lit-on plus loin.
Désormais l’objectif est clair, faire ce que GM n’a pas su faire et redresser Opel pour en faire un levier de progression du groupe. « L'année 2018 sera la première année de mise en œuvre du plan de redressement d'Opel. L'objectif reste de dégager 2 % de marge opérationnelle en 2020. L'excellente santé de l'activité « historique » de PSA (les marques Peugeot, Citroën et DS) a cependant largement compensé les difficultés d'Opel l'an dernier. La marge opérationnelle de cet ancien périmètre s'élève à 7,3 %, un niveau « jamais atteint dans l'histoire de la société», se félicite Carlos Tavares. Pour le groupe dans son ensemble, la marge opérationnelle passe de 6 % à 6,1 %. »
« L'an dernier, le chiffre d'affaires de PSA a augmenté de 20,7 %, à 65,21 milliards d'euros, avec 3,63 millions de véhicules vendus (+ 15,4%). À taux de change et périmètre constants, la progression reste très importante, à 12,9 %. Surtout, le résultat opérationnel du groupe évolue dans des proportions similaires au chiffre d'affaires: + 23,4 %, à 3,99 milliards d'euros. Et cette performance tient compte de l'intégration d'Opel-Vauxhall sur les cinq derniers mois de l'année » précise Le Figaro.
C’est une très belle performance globale d’autant qu’Opel n’est pas devenu rentable pour autant. « La marque allemande avait de quoi inquiéter: elle avait, avec constance, perdu de l'argent pendant les seize dernières années passées dans le giron de l'américain General Motors. Et elle en a encore perdu en 2017. PSA fait état d'une perte opérationnelle de 179 millions d'euros sur les cinq mois où elle a été intégrée dans les comptes du groupe français » lit-on plus loin.
Désormais l’objectif est clair, faire ce que GM n’a pas su faire et redresser Opel pour en faire un levier de progression du groupe. « L'année 2018 sera la première année de mise en œuvre du plan de redressement d'Opel. L'objectif reste de dégager 2 % de marge opérationnelle en 2020. L'excellente santé de l'activité « historique » de PSA (les marques Peugeot, Citroën et DS) a cependant largement compensé les difficultés d'Opel l'an dernier. La marge opérationnelle de cet ancien périmètre s'élève à 7,3 %, un niveau « jamais atteint dans l'histoire de la société», se félicite Carlos Tavares. Pour le groupe dans son ensemble, la marge opérationnelle passe de 6 % à 6,1 %. »