General Motors en rêvait, PSA l’a fait. Opel pour le constructeur américain c’était un trou dans la poche de 15 milliards d’euros. Racheté l’été 2017, la marque en faillite est déjà rentable et annonce une marge de 5%. Un tour de magie qui confirme la pate de Carlos Tavares à la tête du groupe.
« Il faut rappeler que la filiale rachetée durant l'été 2017 n'avait pas produit de bénéfices depuis le début des années 2000 (elle a fait perdre à General Motors près de 15 milliards d'euros sur toute cette période). En outre, le plan de redressement d'Opel prévoyait une marge de 6% à horizon... 2021 ! Enfin, la marque à l'éclair était dans le rouge en 2017 avec une marge de -2,5%. Cette performance a donc, à tout point de vue, de quoi surprendre » analyse La Tribune , dans un article complet sur le sauvetage d’Opel.
« Carlos Tavares rappelle sa méthode : réduire les coûts fixes, les coûts variables et améliorer les prix de ventes. Ainsi, la marque allemande, droguée aux ventes dites tactiques et non-rentables, a dû privilégier les ventes margées avec peu de ristournes. La marque a également commencé à nettoyer ses foyers de perte avec un redéploiement industriel mais également la signature de nouveaux accords de compétitivité. Ceux-ci prévoient de réduire les effectifs grâce à un plan de départ volontaire. Près de 3.500 salariés allemands ont d'ores et déjà répondu favorablement à ce plan, très proche de l'objectif de 3.700 départs » continue l’article.
La tension a été palpable avec les représentants des travailleurs lorsque des réaménagements d’heures de travail ont été mises en avant et les rémunérations renégociées mais les résultats positifs sont autant d’arguments pour remettre d’aplomb la marque. L’hémorragie stoppée, Opel veut de nouveau être ambitieux et va proposer d’ici la fin de l’année de nouveaux modèles pour renouveler son identité.
Lire en intégralité l’article sur le site La Tribune.fr
« Il faut rappeler que la filiale rachetée durant l'été 2017 n'avait pas produit de bénéfices depuis le début des années 2000 (elle a fait perdre à General Motors près de 15 milliards d'euros sur toute cette période). En outre, le plan de redressement d'Opel prévoyait une marge de 6% à horizon... 2021 ! Enfin, la marque à l'éclair était dans le rouge en 2017 avec une marge de -2,5%. Cette performance a donc, à tout point de vue, de quoi surprendre » analyse La Tribune , dans un article complet sur le sauvetage d’Opel.
« Carlos Tavares rappelle sa méthode : réduire les coûts fixes, les coûts variables et améliorer les prix de ventes. Ainsi, la marque allemande, droguée aux ventes dites tactiques et non-rentables, a dû privilégier les ventes margées avec peu de ristournes. La marque a également commencé à nettoyer ses foyers de perte avec un redéploiement industriel mais également la signature de nouveaux accords de compétitivité. Ceux-ci prévoient de réduire les effectifs grâce à un plan de départ volontaire. Près de 3.500 salariés allemands ont d'ores et déjà répondu favorablement à ce plan, très proche de l'objectif de 3.700 départs » continue l’article.
La tension a été palpable avec les représentants des travailleurs lorsque des réaménagements d’heures de travail ont été mises en avant et les rémunérations renégociées mais les résultats positifs sont autant d’arguments pour remettre d’aplomb la marque. L’hémorragie stoppée, Opel veut de nouveau être ambitieux et va proposer d’ici la fin de l’année de nouveaux modèles pour renouveler son identité.
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