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Un article en ligne du journal Le Point, d’après une dépêche AFP, explique que « ce premier jour (hormis dans certains départements frontaliers et en outremer), autrefois très attendu, n'est plus aussi fréquenté. »
Ainsi, « le ministre de l'Économie, Emmanuel Macron, a d'ailleurs appelé les Français à se mobiliser pour soutenir les commerçants après une saison difficile, mercredi matin, lors d'une visite au centre commercial parisien de Beaugrenelle. »
Ainsi, « le ministre de l'Économie, Emmanuel Macron, a d'ailleurs appelé les Français à se mobiliser pour soutenir les commerçants après une saison difficile, mercredi matin, lors d'une visite au centre commercial parisien de Beaugrenelle. »
« Ça ne veut plus dire grand-chose »
L’article explique que « dans les grands magasins, "ça a été plutôt calme à l'ouverture", note le directeur du Printemps Pierre Pellarey, ajoutant que les clients sont plutôt arrivés vers 10-11 heures. » De plus, « aux Galeries Lafayette, seule une petite centaine de personnes s'étaient massées peu avant l'ouverture mercredi matin. »
L’article met en avant « Isabelle, venue avec une amie. » Elle affirme : « le premier jour des soldes c'est notre rituel, on vient chaque année depuis 15 ans. Mais honnêtement, ça ne veut plus dire grand-chose, je suis venue samedi dernier et il y avait déjà des promos partout. »
Thibault Desmidt, directeur du centre commercial Carré Sénart en région parisienne constate : « les gens ne posent plus forcément leur journée, la fréquentation se concentrant avant ou après les heures de travail, ou au déjeuner. Néanmoins, il y avait quand même la queue ce matin devant l'hypermarché, qui propose des réductions importantes sur des TV ou des machines à laver, ça suscite toujours l'engouement. »
Ainsi, « dans les boutiques de Carré Sénart comme dans les rues commerçantes de Paris, certains magasins n'hésitent pas à afficher des - 50 et - 70 % dès le premier jour pour attirer les clients. »
Selon Pierre Pellarey « à la mi-journée, le Printemps relevait une baisse de fréquentation de 7 %, mais un chiffre d'affaires prouve que même s'il y a moins de gens, ceux qui viennent achètent plus. »
Lire l’intégralité de l’article du Point ici.
L’article met en avant « Isabelle, venue avec une amie. » Elle affirme : « le premier jour des soldes c'est notre rituel, on vient chaque année depuis 15 ans. Mais honnêtement, ça ne veut plus dire grand-chose, je suis venue samedi dernier et il y avait déjà des promos partout. »
Thibault Desmidt, directeur du centre commercial Carré Sénart en région parisienne constate : « les gens ne posent plus forcément leur journée, la fréquentation se concentrant avant ou après les heures de travail, ou au déjeuner. Néanmoins, il y avait quand même la queue ce matin devant l'hypermarché, qui propose des réductions importantes sur des TV ou des machines à laver, ça suscite toujours l'engouement. »
Ainsi, « dans les boutiques de Carré Sénart comme dans les rues commerçantes de Paris, certains magasins n'hésitent pas à afficher des - 50 et - 70 % dès le premier jour pour attirer les clients. »
Selon Pierre Pellarey « à la mi-journée, le Printemps relevait une baisse de fréquentation de 7 %, mais un chiffre d'affaires prouve que même s'il y a moins de gens, ceux qui viennent achètent plus. »
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