Le miracle n’a pas eu lieu. Juste un an après le rachat d’Alcatel-Lucent par Nokia, la société n’a pas réussi à s’adapter au nouveau marché ultra concurrentiel et la direction annonce de nouvelles suppressions de postes. « L'équipementier télécoms finlandais prévoit en effet 597 suppressions d'emplois en France d'ici 2019 dans ses filiales Alcatel Lucent International et Nokia Solutions and Networks (NSN), sur un effectif total de 4.200 personnes dans ces deux sociétés, a déclaré mercredi à l'AFP un porte-parole du groupe finlandais. Les effectifs actuels de ses quatre filiales dans le pays s'élèvent à 5.260 salariés » rapporte Le Figaro.fr.
Les sites de l’Essonne et de Côtes-d’Armor sont dans le viseur du groupe pour ces suppression d’emplois alors que la direction finlandaise assure que les départements de recherche et développement ne sont pas concernés. « Les deux autres filiales du groupe en France, Alcatel-Lucent Submarine Networks (câbles sous-marins) et RFS (radiofréquences) ne sont pas concernées par ce «projet d'évolution», justifié par le plan de la maison mère de dégager 1,2 milliard d'euros d'économies d'ici 2018, selon la porte-parole. Le groupe en difficulté chronique a choisi de repositionner la France en pôle d'excellence en matière de recherche-développement sur trois technologies clé: la 5G, la cybersécurité et l'internet des objets » explique le site du quotidien français.
Les syndicats ont pesté contre une déclaration qu’ils estiment contraire à ce qui a été promis lors du rachat il y a un an. L’allègement de la structure était pourtant à prévoir pour cette société qui n’a bouclé qu’une année dans le vert depuis sa création en 2006. Les syndicats sont remontés et un bras de fer s’annonce puisque « Selon eux, le PDG du groupe, Rajeev Suri, s'était engagé lors du rachat, auprès d'Emmanuel Macron, alors ministre de l'Economie, à renforcer le secteur de la recherche et développement pour le porter à 2.500 ingénieurs et chercheurs à fin 2019 . Ces engagements sont «loin d'être tenus» puisque «seulement 20% des 500 recrutements nécessaires ont été réalisés à ce jour» » ajoute Le Figaro.
Les sites de l’Essonne et de Côtes-d’Armor sont dans le viseur du groupe pour ces suppression d’emplois alors que la direction finlandaise assure que les départements de recherche et développement ne sont pas concernés. « Les deux autres filiales du groupe en France, Alcatel-Lucent Submarine Networks (câbles sous-marins) et RFS (radiofréquences) ne sont pas concernées par ce «projet d'évolution», justifié par le plan de la maison mère de dégager 1,2 milliard d'euros d'économies d'ici 2018, selon la porte-parole. Le groupe en difficulté chronique a choisi de repositionner la France en pôle d'excellence en matière de recherche-développement sur trois technologies clé: la 5G, la cybersécurité et l'internet des objets » explique le site du quotidien français.
Les syndicats ont pesté contre une déclaration qu’ils estiment contraire à ce qui a été promis lors du rachat il y a un an. L’allègement de la structure était pourtant à prévoir pour cette société qui n’a bouclé qu’une année dans le vert depuis sa création en 2006. Les syndicats sont remontés et un bras de fer s’annonce puisque « Selon eux, le PDG du groupe, Rajeev Suri, s'était engagé lors du rachat, auprès d'Emmanuel Macron, alors ministre de l'Economie, à renforcer le secteur de la recherche et développement pour le porter à 2.500 ingénieurs et chercheurs à fin 2019 . Ces engagements sont «loin d'être tenus» puisque «seulement 20% des 500 recrutements nécessaires ont été réalisés à ce jour» » ajoute Le Figaro.