Xavier Niel est bien le seul à affirmer que la France dispose d’un bon environnement pour créer son entreprise. Invité au micro d’Europe 1, le patron d’Iliad et empêcheur de tourner en rond a posé la première pierre d'un incubateur géant d’entreprises dans le centre de Paris. Le PDG va investir 200 millions d’euros dans ce projet qui sera situé dans la Halle Freyssinet dans le 13ème arrondissement de la capitale. « L'idée c'est que la France est un pays fantastique pour créer des entreprises. On ne s'en rend pas compte, parce qu'on vit dans un monde de bashing. Mais on a tous les services nécessaires pour en créer une » a-t-il dit. Et d’ajouter que « L'État n'a plus d'argent, on le sait. La société civile est aussi là pour créer et former. C'est ce qu'on veut faire avec ce projet. »
« L’herbe n’est pas plus verte ailleurs »
En annonçant qu’il misait sur la création d’entreprises, Xavier Niel, a insisté sur son obsession : « l’herbe n’est pas plus verte ailleurs ». Selon lui, il faut arrêter de fantasmer sur la Silicon Valley où monter son entreprise « est beaucoup plus dur ». Au sujet de la conjoncture économique aussi il est catégorique en affirmant que « ça fait 30 ans qu'on me dit que la France est en crise. On n'est pas plus en crise aujourd'hui qu'il y a 5, 10 ou 15 ans. »
Interrogé sur les autres actualités de Free, Xavier Niel s’est défendu des attaques de UFC-Que Choisir qui affirme que son réseau mobile est moins performant que ceux de ses concurrents. « On bat quand même des gens qui sont là depuis 15 ans alors que nous, nous sommes là depuis deux ans » a-t-il dit. Enfin, dans le dossier de rachat de T-Mobile qui a avorté, le patron de Free a déclaré qu’il ne s’agissait pas de son « premier échec » et qu’il fallait reconnaitre que sa société était la seule dans le secteur à « viser l’international ».
Interrogé sur les autres actualités de Free, Xavier Niel s’est défendu des attaques de UFC-Que Choisir qui affirme que son réseau mobile est moins performant que ceux de ses concurrents. « On bat quand même des gens qui sont là depuis 15 ans alors que nous, nous sommes là depuis deux ans » a-t-il dit. Enfin, dans le dossier de rachat de T-Mobile qui a avorté, le patron de Free a déclaré qu’il ne s’agissait pas de son « premier échec » et qu’il fallait reconnaitre que sa société était la seule dans le secteur à « viser l’international ».