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Source : Pixabay, image ibre de droits.
Un article en ligne du journal La Dépêche explique que « la contestation de la loi Travail pèse sur l'économie locale. »
L’article précise qu’aujourd'hui, « à 14 h 30, depuis Compans, sur les boulevards, s'élancera une nouvelle manifestation contre la loi Travail. La dixième, 1er Mai inclus, organisée par l'intersyndicale CGT, FO, FSU et Solidaires et les organisations de jeunes, UNEF, FIDL, coordination lycéenne depuis début mars, en un peu plus de deux mois donc. À ces manifs à répétition s'ajoute le blocage, ce matin, de l'aéroport, après ceux d'Eurocentre, la zone logistique de Castelnau-d'Estrétefonds, d'Airbus, du périphérique… »
La Dépêche ajoute que « l'impact sur l'économie du centre-ville, comme de l'agglo, n'est pas neutre. Pour la CGT, c'est une arme clairement revendiquée. »
Cédric Caubère, le secrétaire général de la CGT, explique : « La grève, c'est d'abord une perte de salaire, rappelle d'abord Cédric Caubère, secrétaire général de la CGT. C'est une dernière extrémité pour être entendu. »
L’article précise qu’aujourd'hui, « à 14 h 30, depuis Compans, sur les boulevards, s'élancera une nouvelle manifestation contre la loi Travail. La dixième, 1er Mai inclus, organisée par l'intersyndicale CGT, FO, FSU et Solidaires et les organisations de jeunes, UNEF, FIDL, coordination lycéenne depuis début mars, en un peu plus de deux mois donc. À ces manifs à répétition s'ajoute le blocage, ce matin, de l'aéroport, après ceux d'Eurocentre, la zone logistique de Castelnau-d'Estrétefonds, d'Airbus, du périphérique… »
La Dépêche ajoute que « l'impact sur l'économie du centre-ville, comme de l'agglo, n'est pas neutre. Pour la CGT, c'est une arme clairement revendiquée. »
Cédric Caubère, le secrétaire général de la CGT, explique : « La grève, c'est d'abord une perte de salaire, rappelle d'abord Cédric Caubère, secrétaire général de la CGT. C'est une dernière extrémité pour être entendu. »
Cortèges fournis, magasins déserts
Philippe Léon, commerçant à Toulouse, explique ainsi qu'en ville, « à partir du moment où on perturbe l'accès et où on manifeste — ce que je comprends-, l'effet est immédiat : c'est la désertification. ».
L’article ajoute qu’avec « une perte de chiffre d'affaires depuis le début de la contestation de moins 15 à 20 %. » La CGT elle, explique que les raisons principales sont « le chômage, la précarité, les salaires faibles ». Mais pour Philipe Léon, cela, « c'est quotidien » et l'impact des manifs
« est visible ».
« En première ligne sur les boulevards, les primeurs du marché Cristal voient se succéder les cortèges. » « L'impact est important », assure Philippe Louge, commerçant et président de l'association du marché, « on voit que cela va crescendo et ça nous inquiète. »
Lire l’intégralité de l’article de La Dépêche ici.
L’article ajoute qu’avec « une perte de chiffre d'affaires depuis le début de la contestation de moins 15 à 20 %. » La CGT elle, explique que les raisons principales sont « le chômage, la précarité, les salaires faibles ». Mais pour Philipe Léon, cela, « c'est quotidien » et l'impact des manifs
« est visible ».
« En première ligne sur les boulevards, les primeurs du marché Cristal voient se succéder les cortèges. » « L'impact est important », assure Philippe Louge, commerçant et président de l'association du marché, « on voit que cela va crescendo et ça nous inquiète. »
Lire l’intégralité de l’article de La Dépêche ici.
