Un article en ligne du journal Le Point explique que « l'exercice était inédit depuis début mars et rien n'était gagné d'avance pour les deux parties tant les positions sur ce texte semblent irréconciliables. »
Ainsi, à sa sortie, Philippe Martinez a déclaré aux journalistes que les « désaccords se sont confirmés » : « Il y a des points de désaccord entre la CGT et le gouvernement sur des choses de fond, ces désaccords se sont confirmés aujourd'hui », ajoutant « qu'il n'y a aucune raison de renoncer aux journées de mobilisation des 23 et 28 juin. »
Un constat d'échec que souligne Myriam El Khomri, qui indique que « le gouvernement et la CGT n'ont pas trouvé de consensus sur la loi travail. »
Elle ajoute : « Nous avons des désaccords qui ne sont pas nouveaux, mais nous avons eu un échange constructif, argumenté, sur cette primauté que nous entendons donner à l'accord d'entreprise. » Elle a indiqué avoir « regarder attentivement » les propositions du syndicat.
Ainsi, à sa sortie, Philippe Martinez a déclaré aux journalistes que les « désaccords se sont confirmés » : « Il y a des points de désaccord entre la CGT et le gouvernement sur des choses de fond, ces désaccords se sont confirmés aujourd'hui », ajoutant « qu'il n'y a aucune raison de renoncer aux journées de mobilisation des 23 et 28 juin. »
Un constat d'échec que souligne Myriam El Khomri, qui indique que « le gouvernement et la CGT n'ont pas trouvé de consensus sur la loi travail. »
Elle ajoute : « Nous avons des désaccords qui ne sont pas nouveaux, mais nous avons eu un échange constructif, argumenté, sur cette primauté que nous entendons donner à l'accord d'entreprise. » Elle a indiqué avoir « regarder attentivement » les propositions du syndicat.
64% des français estiment que le gouvernement doit retirer le projet de loi
L’article du Point ajoute qu’on voit mal cependant « ce qui pourrait débloquer la situation. Myriam El Khomri juge son projet utile pour l'emploi, les salariés et la compétitivité. »
Pour Philippe Martinez, « qui doit trouver une porte de sortie honorable après avoir été aux avant-postes de la contestation sociale depuis mars, cette loi est un problème. Plus particulièrement, il dénonce les articles composant sa « colonne vertébrale : inversion de la hiérarchie des normes, licenciement économique, référendum d'entreprise, accord de développement et médecine du travail. »
Lors de la rencontre, « la CGT entend demander la suspension du débat parlementaire, après avoir longtemps réclamé le retrait pur et simple. »
Selon l’article, la CGT « a l'opinion publique pour elle », puisque « plus de six Français sur dix (64 %) estiment que, face aux mouvements sociaux, le gouvernement doit retirer le projet de loi travail, selon un sondage Tilder-LCI-OpinionWay. »
Lire l’intégralité de l’article du Point ici.
Pour Philippe Martinez, « qui doit trouver une porte de sortie honorable après avoir été aux avant-postes de la contestation sociale depuis mars, cette loi est un problème. Plus particulièrement, il dénonce les articles composant sa « colonne vertébrale : inversion de la hiérarchie des normes, licenciement économique, référendum d'entreprise, accord de développement et médecine du travail. »
Lors de la rencontre, « la CGT entend demander la suspension du débat parlementaire, après avoir longtemps réclamé le retrait pur et simple. »
Selon l’article, la CGT « a l'opinion publique pour elle », puisque « plus de six Français sur dix (64 %) estiment que, face aux mouvements sociaux, le gouvernement doit retirer le projet de loi travail, selon un sondage Tilder-LCI-OpinionWay. »
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