Voilà donc le premier sujet de discorde généralisée depuis que la supposée Union nationale a suivi les événements du début de mois de janvier. Il s’agit évidemment du fameux projet de loi Macron qui fait son entrée à l’Assemblée nationale pour deux semaines de débats.
L’enjeu est de taille. Le ministre de l’Economie, Emmanuel Macron, la présente comme un texte fondamental pour sortir le pays de la morosité économique et renouer avec la croissance. « Signe de l'ampleur de ce texte pour la croissance, l'activité et l'égalité des chances économiques mais aussi de la mobilisation parlementaire, 3.034 amendements ont été déposés en vue de la séance publique. Sans compter ceux que le gouvernement peut rajouter en cours de débats » indique l’Agence France presse (AFP).
L’enjeu est de taille. Le ministre de l’Economie, Emmanuel Macron, la présente comme un texte fondamental pour sortir le pays de la morosité économique et renouer avec la croissance. « Signe de l'ampleur de ce texte pour la croissance, l'activité et l'égalité des chances économiques mais aussi de la mobilisation parlementaire, 3.034 amendements ont été déposés en vue de la séance publique. Sans compter ceux que le gouvernement peut rajouter en cours de débats » indique l’Agence France presse (AFP).
Travail le dimanche, professions réglementées
Les dossiers conflictuels sont nombreux dans ce projet de loi du gouvernement. Parmi ces derniers on notera surtout l’extension du travail le dimanche et la libéralisation des professions réglementées. Un texte très conséquent qui a nécessite la mobilisation d’une « commission spéciale, qui a siégé 82 heures, dimanche compris, en présence du ministre de l'Economie l'a déjà revu et corrigé notamment sur un encadrement accru de la réforme des professions règlementées et sur un socle de compromis sur le travail du dimanche dans les commerces, qui supprime les cinq dimanches de plein droit et laisse aux élus un choix allant de zéro à douze » souligne l’AFP.
En plus des traditionnels points litigieux et clivant, quelques ajouts ont attiré l’attention de militants. C’est le cas de l’association anti-corruption Trabsparency International qui s’inquiète de la création d’un secret des affaires.
C’est donc l’heure du test pour le gouvernement qui va devoir gérer une opposition rarement autant unanime et le rejet de certains députés de la majorité qui ne se retrouvent pas dans certains aspects du texte Macron.
En plus des traditionnels points litigieux et clivant, quelques ajouts ont attiré l’attention de militants. C’est le cas de l’association anti-corruption Trabsparency International qui s’inquiète de la création d’un secret des affaires.
C’est donc l’heure du test pour le gouvernement qui va devoir gérer une opposition rarement autant unanime et le rejet de certains députés de la majorité qui ne se retrouvent pas dans certains aspects du texte Macron.