Le nombre de morts n’est pas encore connu avec précision mais les autorités parlent d’une centaine de personnes et plus de 4 000 blessés. Les deux explosions qui semblent être un accident causé par le stockage négligeant de substances destinées à l’usage agricole qui auraient été saisies en 2015.
« Selon le gouverneur de Beyrouth, Marwan Abboud, les dommages liés aux explosions sont estimés à plus de 3 milliards de dollars et jusqu'à 300.000 personnes se retrouvent, de fait, sans domicile. "J'ai fait un tour dans Beyrouth, les dommages peuvent s'élever à entre trois et cinq milliards de dollars", a indiqué à l'AFP le gouverneur, précisant toutefois qu'il attendait une évaluation des experts et des ingénieurs. "Près de la moitié de Beyrouth est détruite ou endommagée", a-t-il estimé, avec 250.000 à 300.000 personnes se retrouvant sans domicile » rapporte l’Agence France presse.
Dans une situation économique et sociale catastrophique le pays sait qu’il n’a pas les moyens de réparer les dégâts. Le chef du gouvernement a lancé un appel officiel d’aide et de soutien à tous les pays frères.
« Proche du Liban, la France, ancienne puissance mandataire, va acheminer l'aide dès ce mercredi par deux avions militaires, selon l'Élysée. Des pays du Golfe, dont certains ont des relations diplomatiques et économiques étroites avec le Liban, ont rapidement offert leur aide. Le Koweït a annoncé ce mercredi l'arrivée d'un avion contenant de "l'aide médicale". L'émir du Qatar, cheikh Tamim ben Hamad Al-Thani, a appelé le président libanais Michel Aoun pour lui présenter ses condoléances, selon l'agence de presse officielle QNA, qui a ajouté que des hôpitaux de campagne seraient envoyés au Liban » appuie la dépêche.
Mais au-delà des réactions pour faire face à la crise humanitaire, et alors que le malheur est encore très frais pour le pays avec des traces impressionnantes des dégâts à des centaines de mètres à la ronde, les réactions sur la durée de la communauté internationale seront cruciales. Car en répondant présent aux appels du pays pour la reconstruction, ce pourrait être une relance économique dont le pays avait déjà grandement besoin.
« Selon le gouverneur de Beyrouth, Marwan Abboud, les dommages liés aux explosions sont estimés à plus de 3 milliards de dollars et jusqu'à 300.000 personnes se retrouvent, de fait, sans domicile. "J'ai fait un tour dans Beyrouth, les dommages peuvent s'élever à entre trois et cinq milliards de dollars", a indiqué à l'AFP le gouverneur, précisant toutefois qu'il attendait une évaluation des experts et des ingénieurs. "Près de la moitié de Beyrouth est détruite ou endommagée", a-t-il estimé, avec 250.000 à 300.000 personnes se retrouvant sans domicile » rapporte l’Agence France presse.
Dans une situation économique et sociale catastrophique le pays sait qu’il n’a pas les moyens de réparer les dégâts. Le chef du gouvernement a lancé un appel officiel d’aide et de soutien à tous les pays frères.
« Proche du Liban, la France, ancienne puissance mandataire, va acheminer l'aide dès ce mercredi par deux avions militaires, selon l'Élysée. Des pays du Golfe, dont certains ont des relations diplomatiques et économiques étroites avec le Liban, ont rapidement offert leur aide. Le Koweït a annoncé ce mercredi l'arrivée d'un avion contenant de "l'aide médicale". L'émir du Qatar, cheikh Tamim ben Hamad Al-Thani, a appelé le président libanais Michel Aoun pour lui présenter ses condoléances, selon l'agence de presse officielle QNA, qui a ajouté que des hôpitaux de campagne seraient envoyés au Liban » appuie la dépêche.
Mais au-delà des réactions pour faire face à la crise humanitaire, et alors que le malheur est encore très frais pour le pays avec des traces impressionnantes des dégâts à des centaines de mètres à la ronde, les réactions sur la durée de la communauté internationale seront cruciales. Car en répondant présent aux appels du pays pour la reconstruction, ce pourrait être une relance économique dont le pays avait déjà grandement besoin.