Éditorialistes & Contributeurs
Corporate management
A la clôture le mardi 13 mars 2012, les places boursières de New York enregistraient d’excellentes performances. En effet, le Dow Jones et le S&P 500 enregistraient un croissance de 1,68 et 1,8% respectivement. Confortés par une forte progression des ventes au détail, les investisseurs ont semble-t-il aussi été convaincu par les décisions de l’Europe groupe quant à la gestion de la crise de l’Euro. La confirmation d’un deuxième plan d’aide européenne à destination de la Grèce ainsi que les engagements pris par l’Espage à ramener son déficit public à 3% de la valeur de son PIBont été bien acceuillis.
Les places boursières américaines ont renoué avec leurs performances antérieures à la crise. Le Dow Jones a par exemple égalisé son niveau 31 décembre 2007. Même l’indice VIX de volatilité du NYSE a retrouvé un niveau proche du niveau moyen de la première moitié de l’année 2007 ce qui laisse présager d’une réelle stabilité de cette reprise des indices boursiers.
Toutefois, ce sont les performances du NASDAQ qui demeurent les plus impressionnantes. Réalisant un gain de 1,88%, la place boursière atteint son niveau le plus haut depuis 2000. La structure de cette performance révèle un dynamisme particulièrement fort de la branche informatique et notamment des cotations de Dell ou Intel. Ces deux industriels ont d’ailleurs pour point commun d’avoir prévu d’investir le secteur de service web 2.0. Dell a ainsi rendu public sa volonté de développer son offre en matière de cloud computing ainsi que son rachat de la société SonicWall spécialisée dans la protection de données. Du côté d’Intel, c’est le projet de développement d’une offre de télévision par internet qui a été formulé.
Les bonnes performances boursières américaines ne sont pas isolées. En Europe également le marché des titres a également fait preuve d’une grande vitalité et la confiance semble réinvestir les places boursières comme en témoinge l’indice de confiance ZEW en se hissant à 22,3 point, poursuivant une progression débutée 4 mois auparavant. A Londres le FTSE progresse de à,66% et le DAX de 0,90% à Francfort. A Paris, ce sont notamment les valeurs bancaires qui ont fortement progressées : Crédit Agricole, Société Générale, BNP Paribas ont ainsi gagné 4,96%, 2,44% et 2,31% respectivement. Le CAC 40 a ainsi cloturé sa journée sur une progression globale de 1,72%.
Plus remarquable encore, le titre de Derichebourg a augmenté de 5,95% et témoigne de l’accueil extrêmement positif de la filiale Aqua du groupe destinée à répondre aux appels d’offres publics en matière d’assainissement des eaux et de gestion des déchets. Par ailleurs, le titre de Capegemini enregistre une forte progression de 2,61% après que la société ait décroché un contrat à 96 millions d’euros auprès de l’Etat du Texas pour la gestion d’une partie de son système informatique. Enfin, c’est la société biopharmaceutique Nicox qui réalise la performance la plus époustouflante avec un saut de 46,45% de la valeur de son titre consécutif à l’annonce de résultats positifs dans ses recherche d’un traitement contre le glaucome.
Alors que la zone euro a tout juste pris ses disposition pour recouvrer sa stabilité, il semblerait que les marchés financiers soient déjà réceptifs aux perspectives d’accalmie des taux de change. En Europe et aux Etats-Unis, les indices de confiance des invistesseurs enregistrent de remarquables progressions tout comme les indices boursiers. Par ailleurs, sur les marchés de titres ce sont les entreprises des secteurs innovants de l’informatique, de l’environnement et des biotechnologie qui réalisent les meilleures performances. Plus que jamais, les secteurs de pointe pourraient être les moteurs de la croissance et de la reprise.
Les places boursières américaines ont renoué avec leurs performances antérieures à la crise. Le Dow Jones a par exemple égalisé son niveau 31 décembre 2007. Même l’indice VIX de volatilité du NYSE a retrouvé un niveau proche du niveau moyen de la première moitié de l’année 2007 ce qui laisse présager d’une réelle stabilité de cette reprise des indices boursiers.
Toutefois, ce sont les performances du NASDAQ qui demeurent les plus impressionnantes. Réalisant un gain de 1,88%, la place boursière atteint son niveau le plus haut depuis 2000. La structure de cette performance révèle un dynamisme particulièrement fort de la branche informatique et notamment des cotations de Dell ou Intel. Ces deux industriels ont d’ailleurs pour point commun d’avoir prévu d’investir le secteur de service web 2.0. Dell a ainsi rendu public sa volonté de développer son offre en matière de cloud computing ainsi que son rachat de la société SonicWall spécialisée dans la protection de données. Du côté d’Intel, c’est le projet de développement d’une offre de télévision par internet qui a été formulé.
Les bonnes performances boursières américaines ne sont pas isolées. En Europe également le marché des titres a également fait preuve d’une grande vitalité et la confiance semble réinvestir les places boursières comme en témoinge l’indice de confiance ZEW en se hissant à 22,3 point, poursuivant une progression débutée 4 mois auparavant. A Londres le FTSE progresse de à,66% et le DAX de 0,90% à Francfort. A Paris, ce sont notamment les valeurs bancaires qui ont fortement progressées : Crédit Agricole, Société Générale, BNP Paribas ont ainsi gagné 4,96%, 2,44% et 2,31% respectivement. Le CAC 40 a ainsi cloturé sa journée sur une progression globale de 1,72%.
Plus remarquable encore, le titre de Derichebourg a augmenté de 5,95% et témoigne de l’accueil extrêmement positif de la filiale Aqua du groupe destinée à répondre aux appels d’offres publics en matière d’assainissement des eaux et de gestion des déchets. Par ailleurs, le titre de Capegemini enregistre une forte progression de 2,61% après que la société ait décroché un contrat à 96 millions d’euros auprès de l’Etat du Texas pour la gestion d’une partie de son système informatique. Enfin, c’est la société biopharmaceutique Nicox qui réalise la performance la plus époustouflante avec un saut de 46,45% de la valeur de son titre consécutif à l’annonce de résultats positifs dans ses recherche d’un traitement contre le glaucome.
Alors que la zone euro a tout juste pris ses disposition pour recouvrer sa stabilité, il semblerait que les marchés financiers soient déjà réceptifs aux perspectives d’accalmie des taux de change. En Europe et aux Etats-Unis, les indices de confiance des invistesseurs enregistrent de remarquables progressions tout comme les indices boursiers. Par ailleurs, sur les marchés de titres ce sont les entreprises des secteurs innovants de l’informatique, de l’environnement et des biotechnologie qui réalisent les meilleures performances. Plus que jamais, les secteurs de pointe pourraient être les moteurs de la croissance et de la reprise.
