La livre dégringole et atteint des niveaux très bas avec une valeur de 1,23 euro. C’est bon pour les touristes européens et étrangers mais pour les autres l’inquiétude est de mise. « Les investisseurs anticipent des turbulences pour l'économie britannique. Ils doutent qu'elle reste aussi attractive pour les entreprises étrangères. Alors, ils se débarrassent des livres qu'ils détiennent, pendant qu'il est encore temps. Par chance, les banques centrales en rachètent pour éviter une bérézina monétaire » résume Ouest-France .
Les investisseurs qui avaient misé sur la Livre perdent confiance et revendent pour sauver les meubles, quitte à perdre au passage. « Ceux qui détiennent des actions des banques en vendent aussi, redoutant, à tort ou à raison, que ces dernières soient trop fortement engagées au Royaume-Uni. L'action de la Société générale a chuté de 20 %, BNP Paribas de 17 %... Et par effet d'entraînement, d'autres valeurs sont chahutées. Peugeot, très dynamique Outre-Manche, perd 18 %. La Bourse de Paris termine en repli de 8 % » lit-on plus loin.
Les investisseurs qui avaient misé sur la Livre perdent confiance et revendent pour sauver les meubles, quitte à perdre au passage. « Ceux qui détiennent des actions des banques en vendent aussi, redoutant, à tort ou à raison, que ces dernières soient trop fortement engagées au Royaume-Uni. L'action de la Société générale a chuté de 20 %, BNP Paribas de 17 %... Et par effet d'entraînement, d'autres valeurs sont chahutées. Peugeot, très dynamique Outre-Manche, perd 18 %. La Bourse de Paris termine en repli de 8 % » lit-on plus loin.