Le Sénat a signé une convention de partenariat avec la CCI France qui doit permettre d’organiser des stages d’immersion en entreprises pour les élus. « L'objectif de ces stages est d'offrir aux sénateurs et aux entrepreneurs une expérience fondée sur un échange réciproque : pour la sénatrice ou le sénateur, un stage de deux à cinq jours en entreprise ; pour les dirigeants qui les accueillent, une journée au Sénat afin de leur faire découvrir le rôle et le fonctionnement du Sénat ainsi que le processus législatif » explique le communiqué de la CCI France.
C’est cet organisme qui chapote les Chambres de commerce et d’industrie du pays qui sera chargée de mettre en relation les Sénateurs et les entreprises pour que ces expériences aient lieu. « Pour éviter tout conflit d'intérêts ou toute promotion électorale, plusieurs précautions ont été prises : les sénateurs devront effectuer leur stage dans une entreprise située en dehors de leur circonscription et seront tenus de le déclarer oralement à l'occasion de débats pouvant concerner l'entreprise d'accueil, que ce soit en commission, en délégation ou en séance publique. Les sénateurs renouvelables ne pourront effectuer de stage dans l'année précédant leur renouvellement » avance CCI France pour prendre les devants des méfiances que la décision pourrait susciter.
La présidente de la délégation sénatoriale aux entreprises, Elisabeth Lamure, une des signataire de la convention s’est félicitée de cette initiative. Selon elle, « ces stages d'immersion offriront, aux uns comme aux autres, l'opportunité d'une meilleure connaissance mutuelle. C'est essentiel si nous voulons que l'action du législateur contribue à la croissance et à l'emploi ». De son côté, Pierre Goguet, président de CCI France, explique que la démarche s’inscrit « dans la volonté des CCI de France de contribuer à diffuser la culture entrepreneuriale auprès des décideurs politiques. »
C’est cet organisme qui chapote les Chambres de commerce et d’industrie du pays qui sera chargée de mettre en relation les Sénateurs et les entreprises pour que ces expériences aient lieu. « Pour éviter tout conflit d'intérêts ou toute promotion électorale, plusieurs précautions ont été prises : les sénateurs devront effectuer leur stage dans une entreprise située en dehors de leur circonscription et seront tenus de le déclarer oralement à l'occasion de débats pouvant concerner l'entreprise d'accueil, que ce soit en commission, en délégation ou en séance publique. Les sénateurs renouvelables ne pourront effectuer de stage dans l'année précédant leur renouvellement » avance CCI France pour prendre les devants des méfiances que la décision pourrait susciter.
La présidente de la délégation sénatoriale aux entreprises, Elisabeth Lamure, une des signataire de la convention s’est félicitée de cette initiative. Selon elle, « ces stages d'immersion offriront, aux uns comme aux autres, l'opportunité d'une meilleure connaissance mutuelle. C'est essentiel si nous voulons que l'action du législateur contribue à la croissance et à l'emploi ». De son côté, Pierre Goguet, président de CCI France, explique que la démarche s’inscrit « dans la volonté des CCI de France de contribuer à diffuser la culture entrepreneuriale auprès des décideurs politiques. »