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Une bonne nouvelle pour la restauration. Pour la première fois l’activité observée est supérieur à son niveau d’avant covid, affirme une étude du cabinet spécialisé Food Service Vision. En mai, l’activité a progressé de 4% en valeur par rapport à son niveau en mai 2019. « Un chiffre qui monte à +7% pour la seule restauration commerciale. La restauration collective, c'est-à-dire les cantines et autres selfs, «demeure encore en retrait», note Food Service Vision. «Principalement sous l'effet du télétravail», commente François Blouin, président-fondateur du cabinet. De leur côté, les commerces alimentaires (boulangeries, pâtisseries, bouchers-traiteurs...), qui avaient déjà bien résisté pendant la crise sanitaire, «poursuivent leur dynamique positive avec une croissance de 12 % en mai». Cette reprise de l'activité, François Blouin l'explique par un ensemble de facteurs. D'une part, «les gens sont de retour au restaurant, puisque 96% des Français qui fréquentaient un restaurant avant la crise sanitaire y sont revenus sur la période février-mai, soit le niveau le plus haut jamais connu», indique l'expert » compile Le Figaro.
« Le contexte propice n'y est pas pour rien dans ces phénomènes. Le cabinet cite dans son rapport la levée des restrictions sanitaires liées au Covid-19, le retour à la normale pour les salons et les foires, ou encore la météo favorable et le bilan positif des vacances de Pâques. Du côté de la consommation sur le lieu de travail, celle-ci bénéficie du «retour des actifs au bureau» (91% en mai 2022, contre 83% un an auparavant). Les dernières données de la Dares, en date de mars, indiquaient que la part de télétravailleurs avait encore baissé et retrouvé ce mois-là un niveau proche de celui de novembre 2021 » précise le quotidien.
Ces chiffres encourageants ne dissipent malheureusement pas totalement les nuages de l’inflation avec des prix qui grimpent aussi sur les cartes des restaurants, tandis que les yeux sont rivés vers Israël ou l’hémisphère sud concernant les prochaines vagues épidémiques.
« Le contexte propice n'y est pas pour rien dans ces phénomènes. Le cabinet cite dans son rapport la levée des restrictions sanitaires liées au Covid-19, le retour à la normale pour les salons et les foires, ou encore la météo favorable et le bilan positif des vacances de Pâques. Du côté de la consommation sur le lieu de travail, celle-ci bénéficie du «retour des actifs au bureau» (91% en mai 2022, contre 83% un an auparavant). Les dernières données de la Dares, en date de mars, indiquaient que la part de télétravailleurs avait encore baissé et retrouvé ce mois-là un niveau proche de celui de novembre 2021 » précise le quotidien.
Ces chiffres encourageants ne dissipent malheureusement pas totalement les nuages de l’inflation avec des prix qui grimpent aussi sur les cartes des restaurants, tandis que les yeux sont rivés vers Israël ou l’hémisphère sud concernant les prochaines vagues épidémiques.