Si proche et si loin en même temps. En janvier 2019 le prélèvement à la source va entrer en fonction. Une petite demie année alors que de nombreux problèmes sont encore loin d’être réglées. Un long article du Parisien-Aujourd’hui en France fait le point sur la situation. Il met notamment en parallèle les annonces confiantes du ministère de l’Action et des comptes publics par rapport aux nombreux inconnus.
« Ces dernières semaines, Bercy a ainsi multiplié les ajustements de quasi dernière minute. Pour répondre aux inquiétudes, aux critiques ou aux cas particuliers qui n’avaient pas été suffisamment bien anticipés. La grogne monte sur les crédits d’impôts à domicile, dont l’acompte de 30 % ne sera versé qu’en mars ? Le gouvernement fait un brusque virage et annonce qu’il sera décaissé dès janvier. Des mains se lèvent pour dénoncer les difficultés à venir des personnes âgées placées dans les Ehpad, qui ne profiteront pas de cette avance de trésorerie pour leur réduction d’impôt ? Nouveau virage pour leur faire finalement bénéficier de l’acompte dès janvier » liste le quotidien. Et si ces sujets ont obtenu des réponses, d’autres sont encore dans le flou.
Parmi les problèmes les plus inquiétants il y a les plateformes Chèque enmploi service (Cesu) et Prestation d’accueil du jeune enfant (Paje). Sans interface pour que les foyers employeurs puissent déclarer leurs salariés la situation est complexe. « En attendant qu’elles le soient, Bercy a décidé que les salariés concernés verraient leur impôt 2019 reporté en 2020. 250 000 personnes sont concernées. Le hic : elles n’auront que trois mois - entre septembre et novembre 2020 - pour régler la note de 2019. Cette décision a déclenché une levée de boucliers : le délai pour régler l’impôt est trop court, le procédé trop complexe… D’autant que Bercy, qui évoque désormais la possibilité d’exonérer totalement ces salariés en 2019, ne tranche pas », résume l’article. En parallèle, la grogne des agents publics montent alors qu’ils attendent toujours une formation pour leur permettre de faire face au raz-de-marée qui s’annonce notamment à cause des petits patrons très inquiets de la nouvelle charge qui les attend.
Lire en intégralité l’article sur le site du Parisien-Aujourd’hui en France
« Ces dernières semaines, Bercy a ainsi multiplié les ajustements de quasi dernière minute. Pour répondre aux inquiétudes, aux critiques ou aux cas particuliers qui n’avaient pas été suffisamment bien anticipés. La grogne monte sur les crédits d’impôts à domicile, dont l’acompte de 30 % ne sera versé qu’en mars ? Le gouvernement fait un brusque virage et annonce qu’il sera décaissé dès janvier. Des mains se lèvent pour dénoncer les difficultés à venir des personnes âgées placées dans les Ehpad, qui ne profiteront pas de cette avance de trésorerie pour leur réduction d’impôt ? Nouveau virage pour leur faire finalement bénéficier de l’acompte dès janvier » liste le quotidien. Et si ces sujets ont obtenu des réponses, d’autres sont encore dans le flou.
Parmi les problèmes les plus inquiétants il y a les plateformes Chèque enmploi service (Cesu) et Prestation d’accueil du jeune enfant (Paje). Sans interface pour que les foyers employeurs puissent déclarer leurs salariés la situation est complexe. « En attendant qu’elles le soient, Bercy a décidé que les salariés concernés verraient leur impôt 2019 reporté en 2020. 250 000 personnes sont concernées. Le hic : elles n’auront que trois mois - entre septembre et novembre 2020 - pour régler la note de 2019. Cette décision a déclenché une levée de boucliers : le délai pour régler l’impôt est trop court, le procédé trop complexe… D’autant que Bercy, qui évoque désormais la possibilité d’exonérer totalement ces salariés en 2019, ne tranche pas », résume l’article. En parallèle, la grogne des agents publics montent alors qu’ils attendent toujours une formation pour leur permettre de faire face au raz-de-marée qui s’annonce notamment à cause des petits patrons très inquiets de la nouvelle charge qui les attend.
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