Les présidents du Medef marquent les périodes et l’actualité et se succèdent. Début juillet 2023 Geoffroy Roux de Bézieux devra laisser sa place. A quelques mois de l’échéance, les actes de candidatures se préparent.
Le Monde nous apprend ainsi qu’une charte a été rédigée pour préparer le fonctionnement de cette transition. « La « charte » en question a été examinée, le 14 novembre, lors d’une réunion du conseil exécutif – l’un des principaux organes de direction du mouvement. Le texte poursuit plusieurs objectifs : « assurer l’équité » entre les prétendant(e)s, « préserver une éthique » pendant la compétition, « garantir la probité et l’intégrité tant des candidatures que des comportements tout au long du processus ». Les participants à la course doivent, par exemple, s’abstenir « de solliciter les équipes de permanents » du Medef, mais peuvent, en revanche, utiliser librement les « moyens » qui seraient mis à leur disposition par la fédération professionnelle ou la structure dont ils sont membres » explique le quotidien.
Les frais de campagnes seront plafonnés à 20 000 euros et remboursés pour les candidats qui atteindront la barre des 5% des suffrages. « La charte doit encore faire l’objet de menues retouches avant d’être avalisée, dans sa version définitive, par le conseil exécutif, qui se réunira le 12 décembre. Elle est assortie d’une annexe, qui rappelle que la durée de la campagne ne peut pas « excéder quatre mois » et que les déclarations de candidature doivent intervenir dans ce laps de temps – mais pas avant. Autrement dit, ceux qui veulent remplacer M. Roux de Bézieux sont tenus de rester muets sur leurs intentions jusqu’à début mars, l’élection ayant lieu dans la première semaine de juillet. S’ils sortent du silence trop tôt, ils sont disqualifiés, ce qui leur interdit d’annoncer la couleur – notamment à la presse – durant cette période de réserve » poursuit Le Monde.
Quelques noms circulent avec Alexandre Saubot, adversaire malheureux de Roux de Bézieux. Pierre Gattaz, ancien patron du Medef jusqu’en 2018 pourrait revenir, tandis que Laurent Giovachini (Syntec) et Dominique Carlac’h, candidate malheureuse en 2018 pourraient aussi être en lice.
Lire en intégralité l’article du « Monde »
Le Monde nous apprend ainsi qu’une charte a été rédigée pour préparer le fonctionnement de cette transition. « La « charte » en question a été examinée, le 14 novembre, lors d’une réunion du conseil exécutif – l’un des principaux organes de direction du mouvement. Le texte poursuit plusieurs objectifs : « assurer l’équité » entre les prétendant(e)s, « préserver une éthique » pendant la compétition, « garantir la probité et l’intégrité tant des candidatures que des comportements tout au long du processus ». Les participants à la course doivent, par exemple, s’abstenir « de solliciter les équipes de permanents » du Medef, mais peuvent, en revanche, utiliser librement les « moyens » qui seraient mis à leur disposition par la fédération professionnelle ou la structure dont ils sont membres » explique le quotidien.
Les frais de campagnes seront plafonnés à 20 000 euros et remboursés pour les candidats qui atteindront la barre des 5% des suffrages. « La charte doit encore faire l’objet de menues retouches avant d’être avalisée, dans sa version définitive, par le conseil exécutif, qui se réunira le 12 décembre. Elle est assortie d’une annexe, qui rappelle que la durée de la campagne ne peut pas « excéder quatre mois » et que les déclarations de candidature doivent intervenir dans ce laps de temps – mais pas avant. Autrement dit, ceux qui veulent remplacer M. Roux de Bézieux sont tenus de rester muets sur leurs intentions jusqu’à début mars, l’élection ayant lieu dans la première semaine de juillet. S’ils sortent du silence trop tôt, ils sont disqualifiés, ce qui leur interdit d’annoncer la couleur – notamment à la presse – durant cette période de réserve » poursuit Le Monde.
Quelques noms circulent avec Alexandre Saubot, adversaire malheureux de Roux de Bézieux. Pierre Gattaz, ancien patron du Medef jusqu’en 2018 pourrait revenir, tandis que Laurent Giovachini (Syntec) et Dominique Carlac’h, candidate malheureuse en 2018 pourraient aussi être en lice.
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