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La croissance française ne doit pas chuter après les attentats qui se sont déroulés à Paris le 13 novembre dernier.
Un article en ligne du journal Le Point tente de savoir si les attentats de Paris peuvent menacer la « fragile reprise économique en France. »
Un article en ligne du journal Le Point tente de savoir si les attentats de Paris peuvent menacer la « fragile reprise économique en France. »
« Les attaques vont peser sur le tourisme »
L’article du Point explique que « le matin des terribles attentats de Paris, l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) avait annoncé que la croissance avait rebondi au troisième trimestre, à 0,3 % après avoir été nulle au second, ce qui assurait une croissance annuelle moyenne d'au moins 1,1 % contre 0,2 % l'année dernière. » Mais d’après le journal, « l'activité économique peut-elle retomber comme un soufflet ? S'il est encore bien trop tôt pour se prononcer, la question est déjà sur la table. »
Ainsi, l’article affirme que « les attaques de vendredi pèsent et vont peser sur le tourisme (quelque 8 % du PIB) et donc sur l'hôtellerie. » Car « pour des raisons de sécurité, de nombreux salons et réunions ont été annulés, à commencer par le Congrès des maires de France, reporté à la demande du gouvernement. Les taux de remplissage vont donc souffrir. »
En outre, « Pierre Gattaz, le président du Medef, a évoqué mardi de fortes annulations, notamment de la part des touristes japonais et américains. Paris et l'Ile-de-France sont particulièrement concernées, mais il est probable que des voyages entiers vers la France soient perdus. »
Cependant, l’article ajoute que « les précédents sont plutôt rassurants quant à l'impact macroéconomique global des attentats. Malgré les attentats de Charlie Hebdo et de l'Hyper Cacher en janvier, l'économie française a fortement rebondi de 0,7 % sur les trois premiers mois de l'année avant de stagner totalement d'avril à juin. »
Ainsi, « les attaques n'ont donc, semble-t-il, pas eu d'impact significatif sur une croissance incertaine. Les tueries de vendredi n'ont, bien sûr, pas tout à fait la même nature, puisque les terroristes ont montré qu'ils pouvaient s'en prendre à n'importe qui. »
Lire l'intégralité de l'article du Point ici
Ainsi, l’article affirme que « les attaques de vendredi pèsent et vont peser sur le tourisme (quelque 8 % du PIB) et donc sur l'hôtellerie. » Car « pour des raisons de sécurité, de nombreux salons et réunions ont été annulés, à commencer par le Congrès des maires de France, reporté à la demande du gouvernement. Les taux de remplissage vont donc souffrir. »
En outre, « Pierre Gattaz, le président du Medef, a évoqué mardi de fortes annulations, notamment de la part des touristes japonais et américains. Paris et l'Ile-de-France sont particulièrement concernées, mais il est probable que des voyages entiers vers la France soient perdus. »
Cependant, l’article ajoute que « les précédents sont plutôt rassurants quant à l'impact macroéconomique global des attentats. Malgré les attentats de Charlie Hebdo et de l'Hyper Cacher en janvier, l'économie française a fortement rebondi de 0,7 % sur les trois premiers mois de l'année avant de stagner totalement d'avril à juin. »
Ainsi, « les attaques n'ont donc, semble-t-il, pas eu d'impact significatif sur une croissance incertaine. Les tueries de vendredi n'ont, bien sûr, pas tout à fait la même nature, puisque les terroristes ont montré qu'ils pouvaient s'en prendre à n'importe qui. »
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