S’il fallait faire une liste des secteurs pour lesquels la contrefaçon est une menace vitale, l’industrie luxe apparaîtrait surement au sommet. Pendant longtemps, la lutte contre la contrefaçon s’est structurée autour de la chasse au produit abusivement estampillé d’un logo ou d’une mention « made in », mais aujourd’hui la monté en technicité des actes de contrefaçon pousse à une vigilance accrue.
Dans cette perspective, les producteurs sont de plus en plus impliqués dans la lutte anticontrefaçon et cette dernière ne relève plus du seul travail de douane. Consacrer un budget au développement de solution d’authentification des produits est devenu une nécessité incontournable pour les entreprises du marché du luxe. Récemment, c’est la technologie NFC qui a attiré l’attention du secteur. Reposant sur les ondes radio à courte portée, cette solution permet à un simple téléphone portable d’identifier des produits. Mais ces technologies, aussi ingénieuses soient-elles, ne mettent pas les producteurs à l’abri de la contrefaçon. Tout au plus leur permettent-elles de faciliter le travail des douaniers et de rassurer leurs clients.
L’amélioration de la qualité des copies et l’augmentation consécutive de leurs prix tendent à mettre les contrefacteurs en position de concurrence directe avec les fabricants. C’est un phénomène particulièrement remarqué sur le marché de l’horlogerie de luxe. De finition excellente et parfois vendues seulement trois fois moins chères que les modèles originaux, les montres ainsi contrefaites entretiennent le flou sur le marché et dans l’esprit des consommateurs.
Pour les fabricants et leur marque, le manque à gagner financier dû à la contrefaçon est évident, mais il ne doit pas faire oublier la réalité du préjudice premier engendré par ce phénomène. Pour les enseignes en effet, la contrefaçon et le flou qu’elle génère sur la qualité des produits font peser un risque considérable sur la confiance des clients. Qualité entachée, image de marque dégradée, politique de prix mal identifiée par le consommateur sont autant d’impacts générés par la contrefaçon venant toucher au cœur du business model de l’industrie du luxe qui repose tant sur la rareté que la qualité des produits.
Bien que touchant indifféremment tous les secteurs de production, la contrefaçon se fait particulièrement préjudiciable pour l’industrie du luxe. La montée en qualité des articles de luxe contrefaits pose de nouvelles difficultés aux producteurs et rend nécessaire leur implication dans la lutte contre ces pratiques. Aujourd’hui, de nombreuses entreprises élaborent des formations à l’attention des services de douanes et se dotent d’outils d’identification qui facilitent la traçabilité des produits. Mais le secteur du luxe reste très désemparé face à un phénomène désormais largement mondialisé. Pour se protéger de cette menace stratégique, les fabricants n’ont en effet d’autre choix que faire preuve de patience et de volontarisme en communiquant auprès des clients, en travaillant de concert avec les pouvoirs publics et en investissant dans des solutions technologiques pour protéger les produits originaux.
Dans cette perspective, les producteurs sont de plus en plus impliqués dans la lutte anticontrefaçon et cette dernière ne relève plus du seul travail de douane. Consacrer un budget au développement de solution d’authentification des produits est devenu une nécessité incontournable pour les entreprises du marché du luxe. Récemment, c’est la technologie NFC qui a attiré l’attention du secteur. Reposant sur les ondes radio à courte portée, cette solution permet à un simple téléphone portable d’identifier des produits. Mais ces technologies, aussi ingénieuses soient-elles, ne mettent pas les producteurs à l’abri de la contrefaçon. Tout au plus leur permettent-elles de faciliter le travail des douaniers et de rassurer leurs clients.
L’amélioration de la qualité des copies et l’augmentation consécutive de leurs prix tendent à mettre les contrefacteurs en position de concurrence directe avec les fabricants. C’est un phénomène particulièrement remarqué sur le marché de l’horlogerie de luxe. De finition excellente et parfois vendues seulement trois fois moins chères que les modèles originaux, les montres ainsi contrefaites entretiennent le flou sur le marché et dans l’esprit des consommateurs.
Pour les fabricants et leur marque, le manque à gagner financier dû à la contrefaçon est évident, mais il ne doit pas faire oublier la réalité du préjudice premier engendré par ce phénomène. Pour les enseignes en effet, la contrefaçon et le flou qu’elle génère sur la qualité des produits font peser un risque considérable sur la confiance des clients. Qualité entachée, image de marque dégradée, politique de prix mal identifiée par le consommateur sont autant d’impacts générés par la contrefaçon venant toucher au cœur du business model de l’industrie du luxe qui repose tant sur la rareté que la qualité des produits.
Bien que touchant indifféremment tous les secteurs de production, la contrefaçon se fait particulièrement préjudiciable pour l’industrie du luxe. La montée en qualité des articles de luxe contrefaits pose de nouvelles difficultés aux producteurs et rend nécessaire leur implication dans la lutte contre ces pratiques. Aujourd’hui, de nombreuses entreprises élaborent des formations à l’attention des services de douanes et se dotent d’outils d’identification qui facilitent la traçabilité des produits. Mais le secteur du luxe reste très désemparé face à un phénomène désormais largement mondialisé. Pour se protéger de cette menace stratégique, les fabricants n’ont en effet d’autre choix que faire preuve de patience et de volontarisme en communiquant auprès des clients, en travaillant de concert avec les pouvoirs publics et en investissant dans des solutions technologiques pour protéger les produits originaux.