« Imaginez qu'un centre des impôts roule dans la farine un contribuable sur cinq. Ce serait l'émeute », explique un article en ligne du journal Le Point, qui ajoute : « En revanche, les retraités ne descendent pas dans la rue quand leur caisse d'assurance retraite se trompe, car ils ne s'en rendent pas compte. »
« Une attaque au vitriol contre notre système de retraite »
Le professeur Jacques Bichot dans La Retraite en liberté : « Même au moment où ils font la demande de liquidation au régime général, la complication des modalités de calcul les met de facto dans l'obligation de faire une confiance aveugle à ce qui sortira des ordinateurs de la caisse ». Docteur en mathématiques et en économie, cet ancien professeur est considéré comme l'un des meilleurs spécialistes du financement des retraites en France.
Malgré « son titre un peu badin, l'ouvrage est une attaque au vitriol contre notre système des retraites par répartition, dont les pratiques sont parfois comparables aux pyramides d'argent inventées par Bernard Madoff, cet escroc financier américain qui payait les intérêts en se servant de nouveaux dépôts d'argent », souligne l’article du Point.
Ainsi, « la Cour des comptes a refusé à deux reprises par le passé de certifier les comptes de la Caisse nationale d'assurance vieillesse des travailleurs salariés (CNAVTS). Quand elle accepte de les certifier, elle émet de nombreuses réserves en raison de la fréquence et [de] l'incidence financière des erreurs qui affectent les prestations légales. Si toutes les caisses de retraite ne se trompent pas une fois sur cinq, le taux d'erreurs tourne tout de même en moyenne au-dessus de 7 %. »
Malgré « son titre un peu badin, l'ouvrage est une attaque au vitriol contre notre système des retraites par répartition, dont les pratiques sont parfois comparables aux pyramides d'argent inventées par Bernard Madoff, cet escroc financier américain qui payait les intérêts en se servant de nouveaux dépôts d'argent », souligne l’article du Point.
Ainsi, « la Cour des comptes a refusé à deux reprises par le passé de certifier les comptes de la Caisse nationale d'assurance vieillesse des travailleurs salariés (CNAVTS). Quand elle accepte de les certifier, elle émet de nombreuses réserves en raison de la fréquence et [de] l'incidence financière des erreurs qui affectent les prestations légales. Si toutes les caisses de retraite ne se trompent pas une fois sur cinq, le taux d'erreurs tourne tout de même en moyenne au-dessus de 7 %. »