Un article en ligne du journal Le Point, d'après une dépêche AFP, explique que « la croissance ne devrait augmenter que de façon très lente au cours des trois prochaines années en France, passant d'au moins 1,4 % du PIB cette année à 1,5 % en 2017, puis à 1,6 % en 2018, selon les prévisions pluriannuelles publiées vendredi par la Banque de France. »
L’article ajoute que « d'après ces projections, effectuées sur la base d'hypothèses arrêtées mi-mai, la croissance française devrait bénéficier du regain d'activité dans la zone euro, favorisé notamment par la politique monétaire jugée très accommodante de la BCE. »
L’article ajoute que « d'après ces projections, effectuées sur la base d'hypothèses arrêtées mi-mai, la croissance française devrait bénéficier du regain d'activité dans la zone euro, favorisé notamment par la politique monétaire jugée très accommodante de la BCE. »
Une croissance freinée
La banque centrale française assure dans un communiqué que la demande intérieure gagnerait en dynamisme, « avec une augmentation de la consommation des ménages, en particulier en 2016, et la confirmation d'une reprise durable de l'investissement des entreprises. »
L’article du Point précise que « ces prévisions sont globalement conformes aux dernières projections de l'institution monétaire, publiées en décembre. Le chiffre de croissance pour 2017 y était alors toutefois légèrement supérieur, à 1,6 % du PIB. »
Cette légère révision à la baisse de la croissance attendue l'an prochain « par un contexte international moins porteur, du fait du ralentissement de l'économie mondiale, mais aussi de l'évolution des prix du pétrole, qui devraient se redresser en 2017 et en 2018. »
En outre, « la croissance serait freinée, en 2016, par une contribution nette négative de notre commerce extérieur, du fait d'une appréciation du taux de change depuis décembre, qui pénalise les exportations, les importations étant pour leur part soutenues par la forte demande intérieure. »
Enfin, « l'inflation, dans ce contexte, resterait très faible, à 0,2 % en moyenne annuelle. Elle devrait toutefois se redresser pour atteindre 1,1 % en 2017, puis 1,4 % en 2018, du fait d'une augmentation progressive des prix de l'énergie », selon les mêmes informations de la Banque de France.
Lire l’intégralité de l’article du Point ici.
L’article du Point précise que « ces prévisions sont globalement conformes aux dernières projections de l'institution monétaire, publiées en décembre. Le chiffre de croissance pour 2017 y était alors toutefois légèrement supérieur, à 1,6 % du PIB. »
Cette légère révision à la baisse de la croissance attendue l'an prochain « par un contexte international moins porteur, du fait du ralentissement de l'économie mondiale, mais aussi de l'évolution des prix du pétrole, qui devraient se redresser en 2017 et en 2018. »
En outre, « la croissance serait freinée, en 2016, par une contribution nette négative de notre commerce extérieur, du fait d'une appréciation du taux de change depuis décembre, qui pénalise les exportations, les importations étant pour leur part soutenues par la forte demande intérieure. »
Enfin, « l'inflation, dans ce contexte, resterait très faible, à 0,2 % en moyenne annuelle. Elle devrait toutefois se redresser pour atteindre 1,1 % en 2017, puis 1,4 % en 2018, du fait d'une augmentation progressive des prix de l'énergie », selon les mêmes informations de la Banque de France.
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