La Banque de France vient de rendre ses prévisions macroéconomiques et semble être plus optimiste pour 2017, annonçant ainsi une hausse à 1,4% en 2017 puis à 1,6% en 2018.
Et ce « en raison principalement de l'embellie de l'environnement international », explique un article en ligne du journal Le Point, qui ajoute que ce « regain de croissance mondiale devrait stimuler l'activité, en favorisant un rebond des parts de marché à l'exportation », selon les informations de l'institution monétaire dans ses projections macroéconomiques semestrielles.
« La Banque de France tablait jusqu'à présent sur une hausse du produit intérieur brut (PIB) limitée à 1,3 % cette année, puis à 1,4 % en 2018 et à 1,5 % en 2019, du fait notamment de la remontée des prix du pétrole », ajoute l’article du Point.
« Les gains de pouvoir d'achat liés à la baisse des prix du pétrole étant derrière nous, la demande intérieure, en particulier la consommation privée, devrait moins contribuer à la croissance qu'en 2015 et 2016 », précise la Banque centrale.
Cependant, cela devrait être compensé par la « hausse de la demande extérieure adressée à la France, notamment en provenance des autres pays de la zone euro. Les exportations françaises, malgré un début d'année décevant, devraient ainsi retrouver de l'allant en 2017, après les résultats catastrophiques de 2016 (48,1 milliards d'euros de déficit commercial) », selon ls informations du Point.
Dans ce contexte, « la contribution du commerce extérieur à la croissance serait moins négative en 2017 qu'au cours des trois dernières années, et redeviendrait positive en 2018 et 2019 », analyse enfin la Banque de France.
Et ce « en raison principalement de l'embellie de l'environnement international », explique un article en ligne du journal Le Point, qui ajoute que ce « regain de croissance mondiale devrait stimuler l'activité, en favorisant un rebond des parts de marché à l'exportation », selon les informations de l'institution monétaire dans ses projections macroéconomiques semestrielles.
« La Banque de France tablait jusqu'à présent sur une hausse du produit intérieur brut (PIB) limitée à 1,3 % cette année, puis à 1,4 % en 2018 et à 1,5 % en 2019, du fait notamment de la remontée des prix du pétrole », ajoute l’article du Point.
« Les gains de pouvoir d'achat liés à la baisse des prix du pétrole étant derrière nous, la demande intérieure, en particulier la consommation privée, devrait moins contribuer à la croissance qu'en 2015 et 2016 », précise la Banque centrale.
Cependant, cela devrait être compensé par la « hausse de la demande extérieure adressée à la France, notamment en provenance des autres pays de la zone euro. Les exportations françaises, malgré un début d'année décevant, devraient ainsi retrouver de l'allant en 2017, après les résultats catastrophiques de 2016 (48,1 milliards d'euros de déficit commercial) », selon ls informations du Point.
Dans ce contexte, « la contribution du commerce extérieur à la croissance serait moins négative en 2017 qu'au cours des trois dernières années, et redeviendrait positive en 2018 et 2019 », analyse enfin la Banque de France.