Pourquoi les prix cesseraient d’augmenter puisque les transactions n’ont jamais été aussi nombreuses ? Le secteur immobilier illustre les règles économiques les plus élémentaires si l’on en croit les chiffres de 2018. « La hausse des prix des logements anciens s’est accélérée en France. Au quatrième trimestre 2018, ils ont grimpé de 3,2% sur un an, selon l’Insee et les notaires. Cette progression est légèrement supérieure à celle affichée au troisième trimestre 2018 sur un an : +2,9%. Ce sont les prix des appartements qui ont le plus augmenté (+3,4%) par rapport à celui des maisons (+3,1%). C’est une bien mauvaise nouvelle pour le gouvernement qui par son « choc d’offre » cherche à faire diminuer les prix qui vient s’ajouter à la nouvelle chute de la construction des logements neufs » rapporte Le Figaro.
Pour autant la hausse des prix est loin de décourager les acheteurs. Pour la troisième année d’affilée, le nombre de ventes bat son précédent record. 970 000 transactions ont été enregistrées en 2018. « Côté régions, si la hausse des prix des logements anciens en province a nettement ralenti en province (+0,4% après +1%), elle s’est accélérée en Ile-de-France (+1,3% par rapport au troisième trimestre) après +1%). Selon les notaires, les prix devraient passer le cap des 6000 euros le m² dans la région en avril prochain. Des hausses de plus de 10% ont été enregistrées par les notaires à Villejuif (94), Saint-Denis (93) ou encore Pantin (93). À noter que, contrairement à la France, le nombre de ventes de logements anciens a reculé de 2% en 2018 (par rapport à 2017) dans la région francilienne » continue l’article.
La situation est encore plus claire à Paris où les prix ont augmenté de 4% en 2018 après avoir augmenté de 6% en 2017. Avec une moyenne à 9 600 m2 qui ne dit pas grand-chose de la situation puisqu’il y a de fortes disparités selon les quartiers. Le quartier Odéon étant le plus cher avec 17 410 euros le m2 contre La Chapelle à 7 460 euros.
Pour autant la hausse des prix est loin de décourager les acheteurs. Pour la troisième année d’affilée, le nombre de ventes bat son précédent record. 970 000 transactions ont été enregistrées en 2018. « Côté régions, si la hausse des prix des logements anciens en province a nettement ralenti en province (+0,4% après +1%), elle s’est accélérée en Ile-de-France (+1,3% par rapport au troisième trimestre) après +1%). Selon les notaires, les prix devraient passer le cap des 6000 euros le m² dans la région en avril prochain. Des hausses de plus de 10% ont été enregistrées par les notaires à Villejuif (94), Saint-Denis (93) ou encore Pantin (93). À noter que, contrairement à la France, le nombre de ventes de logements anciens a reculé de 2% en 2018 (par rapport à 2017) dans la région francilienne » continue l’article.
La situation est encore plus claire à Paris où les prix ont augmenté de 4% en 2018 après avoir augmenté de 6% en 2017. Avec une moyenne à 9 600 m2 qui ne dit pas grand-chose de la situation puisqu’il y a de fortes disparités selon les quartiers. Le quartier Odéon étant le plus cher avec 17 410 euros le m2 contre La Chapelle à 7 460 euros.