Comme l’explique Martine Combemal(1), l’audit social « était en premier un audit de gestion des ressources humaines ». Dans les années 1950, on en observe en effet les prémisses en France. Mais ce n’est qu’à partir de 1977 que la pratique se développe réellement. À compter de cette date en effet, les entreprises sont tenues par la loi de présenter un bilan social annuel. À la faveur du développement du concept de RSE, la pratique s’est depuis considérablement enrichie et porte maintenant fréquemment sur la responsabilité sociale des entreprises qu’elle évalue et dont elle contribue à la promotion.
Quel que soit son champ d’application, l’audit a pour vocation de fournir une description objective du fonctionnement de l’entreprise et de sa capacité à atteindre des objectifs prédéfinis. Tout en respectant ce principe général, l’audit social s’applique aujourd’hui sur quatre grandes thématiques ainsi définies par l’Institut international de l’audit social (IAS) : la conformité des pratiques aux cadres institutionnels, la conformité aux règles et procédures internes à l’entreprise, la préparation d’un changement, ou le diagnostic d’une situation sociale problématique.
La réalisation d’un audit social se déroule selon des méthodologies précises. Elle respecte certaines normes et repose notamment sur un corpus de référentiel normatif tel que le droit du travail, les conventions collectives ou encore les chartes internes à l’entreprise. Plus plus de transparence dans les démarches, l’IAS propose également un référentiel qui fixe un cadre précis à l’exécution de ce type d’audit. Ce document est susceptible d’être consulté par toute entreprise souhaitant se faire auditer. Cela peut lui permettre de mieux définir ses besoins. Car l’efficacité de la démarche dépend en effet bien souvent des choix initiaux de l’entreprise.
On s’en rend par exemple compte à l’occasion de résolution de crise interne. L’audit social s’avère en effet particulièrement utile en tant qu’outil de résolution des conflits. L’entreprise a toujours la possibilité de réaliser le diagnostic en internet ou en externe. Mais en cas de tension à l’intérieur de l’organisation, faire appel à auditeur externe est bien souvent la condition de l’efficacité. Conduit par un représentant extérieur à l’entreprise, les conclusions de l’audit présentent un gage d’indépendance et de neutralité. Ses recommandations n’en sont ainsi généralement que plus pertinentes et leur acceptation par l’ensemble des parties prenantes du conflit n’en est que plus facile.
Quel que soit son champ d’application, l’audit a pour vocation de fournir une description objective du fonctionnement de l’entreprise et de sa capacité à atteindre des objectifs prédéfinis. Tout en respectant ce principe général, l’audit social s’applique aujourd’hui sur quatre grandes thématiques ainsi définies par l’Institut international de l’audit social (IAS) : la conformité des pratiques aux cadres institutionnels, la conformité aux règles et procédures internes à l’entreprise, la préparation d’un changement, ou le diagnostic d’une situation sociale problématique.
La réalisation d’un audit social se déroule selon des méthodologies précises. Elle respecte certaines normes et repose notamment sur un corpus de référentiel normatif tel que le droit du travail, les conventions collectives ou encore les chartes internes à l’entreprise. Plus plus de transparence dans les démarches, l’IAS propose également un référentiel qui fixe un cadre précis à l’exécution de ce type d’audit. Ce document est susceptible d’être consulté par toute entreprise souhaitant se faire auditer. Cela peut lui permettre de mieux définir ses besoins. Car l’efficacité de la démarche dépend en effet bien souvent des choix initiaux de l’entreprise.
On s’en rend par exemple compte à l’occasion de résolution de crise interne. L’audit social s’avère en effet particulièrement utile en tant qu’outil de résolution des conflits. L’entreprise a toujours la possibilité de réaliser le diagnostic en internet ou en externe. Mais en cas de tension à l’intérieur de l’organisation, faire appel à auditeur externe est bien souvent la condition de l’efficacité. Conduit par un représentant extérieur à l’entreprise, les conclusions de l’audit présentent un gage d’indépendance et de neutralité. Ses recommandations n’en sont ainsi généralement que plus pertinentes et leur acceptation par l’ensemble des parties prenantes du conflit n’en est que plus facile.
(1)COMBEMALE, M., L’Audit social, PUF, Col. Que-sais-je ?, 2005, 128 pp..