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Chaque cas est différent mais on peut dresser un tableau global. « Si la Chine a retrouvé son niveau d’activité d’avant la pandémie au bout de seulement six mois, l’Argentine devrait patienter, en tout, plus de cinq ans. Selon les prévisions de l’OCDE, la plupart des économies avancées devraient retrouver leur niveau de PIB d’ici à la fin de 2022. Les inégalités se sont également creusées entre les salariés. La part des emplois qualifiés a augmenté dans la quasi-totalité des 38 pays de l’OCDE pendant la pandémie au détriment des autres » pointe Le Monde .
L’organisation estime que les interventions étatiques sont pour beaucoup dans cette reprise solide. « La reprise économique est extraordinaire à tous points de vue. En premier lieu, parce qu’on n’a jamais aussi bien préservé la structure économique et sociale grâce au soutien exceptionnel des Etats. On part donc avec un niveau élevé d’emploi et de revenu des ménages, ce qui est inédit par rapport aux crises précédentes »,assure l’économiste en chef, Laurence Boone, citée par le quotidien.
« Outre le soutien budgétaire des Etats et la politique monétaire accommodante des banques centrales, la reprise de l’activité dépend de l’efficacité des campagnes de vaccination. « La priorité absolue est de consacrer toutes les ressources nécessaires à un déploiement de la vaccination aussi vite que possible », rappelle l’OCDE. Si le nombre de doses administrées pour 100 habitants oscille entre 60 et 100 dans les pays riches, il ne dépasse pas les 10 dans la plupart des pays d’Afrique. « Sur le court terme, l’accélération de la vaccination passe par une augmentation de la production et de la distribution de doses, et donc par une levée des restrictions aux exportations de vaccins, de leurs composants ou du matériel médical », défend Laurence Boone. La capacité de production de doses augmente certes mois après mois, mais la moitié des chaînes de fabrication attendent une autorisation administrative de mise en service » continue Le Monde. Précisant que les conditions de la reprise dépendront de la mise en place des plans de relance dont les lancements dépendent de l’évolution de la situation sanitaire.
L’organisation estime que les interventions étatiques sont pour beaucoup dans cette reprise solide. « La reprise économique est extraordinaire à tous points de vue. En premier lieu, parce qu’on n’a jamais aussi bien préservé la structure économique et sociale grâce au soutien exceptionnel des Etats. On part donc avec un niveau élevé d’emploi et de revenu des ménages, ce qui est inédit par rapport aux crises précédentes »,assure l’économiste en chef, Laurence Boone, citée par le quotidien.
« Outre le soutien budgétaire des Etats et la politique monétaire accommodante des banques centrales, la reprise de l’activité dépend de l’efficacité des campagnes de vaccination. « La priorité absolue est de consacrer toutes les ressources nécessaires à un déploiement de la vaccination aussi vite que possible », rappelle l’OCDE. Si le nombre de doses administrées pour 100 habitants oscille entre 60 et 100 dans les pays riches, il ne dépasse pas les 10 dans la plupart des pays d’Afrique. « Sur le court terme, l’accélération de la vaccination passe par une augmentation de la production et de la distribution de doses, et donc par une levée des restrictions aux exportations de vaccins, de leurs composants ou du matériel médical », défend Laurence Boone. La capacité de production de doses augmente certes mois après mois, mais la moitié des chaînes de fabrication attendent une autorisation administrative de mise en service » continue Le Monde. Précisant que les conditions de la reprise dépendront de la mise en place des plans de relance dont les lancements dépendent de l’évolution de la situation sanitaire.