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Le gouvernement espère enregistrer 1 % de croissance cette année et jusqu’à 1,7 % de croissance en 2015. Mais de son côté, l’OCDE se fait plus pessimiste. L’organisation estime que la croissance française n’excédera pas les 0,9 % du PIB cette année. Tout au plus pourrait-elle atteindre les 1,5 % l’an prochain. Les travaux de la Commission européenne abondent d’ailleurs également dans ce sens et présentent des chiffres sensiblement similaires.
Si l’OCDE se montre modérément enthousiaste à l’égard de l’avenir, c’est parce qu’elle affirme constater que l’économie française est tirée par le contexte économique international. Or l’organisation anticipe un affaiblissement de la reprise mondial sous l’effet d’un moindre dynamisme des pays émergents, et notamment de la Chine.
En France, l’impact de cette croissance mondiale moindre (dont les prévisions sont ramenées à 3,4 % contre 3,9 % précédemment) se fera sentir sur l’emploi d’après l’OCDE. Les chiffres annoncés du chômage pour l’horizon 2015 sont ainsi de l’ordre de 9,8 % de la population active inemployée. Concernant le déficit de la balance des paiements, les prévisions sont toutes fois moins sombre. L’OCDE juge tenable l’objectif de le ramener à 3 % du PIB d’ici 2015.
Si l’OCDE se montre modérément enthousiaste à l’égard de l’avenir, c’est parce qu’elle affirme constater que l’économie française est tirée par le contexte économique international. Or l’organisation anticipe un affaiblissement de la reprise mondial sous l’effet d’un moindre dynamisme des pays émergents, et notamment de la Chine.
En France, l’impact de cette croissance mondiale moindre (dont les prévisions sont ramenées à 3,4 % contre 3,9 % précédemment) se fera sentir sur l’emploi d’après l’OCDE. Les chiffres annoncés du chômage pour l’horizon 2015 sont ainsi de l’ordre de 9,8 % de la population active inemployée. Concernant le déficit de la balance des paiements, les prévisions sont toutes fois moins sombre. L’OCDE juge tenable l’objectif de le ramener à 3 % du PIB d’ici 2015.