En début de journée, vendredi 23 janvier, l’euro vaut 1,1329 dollar. La veille au soir il valait 1,1359. « La monnaie a même chuté jusqu'à 1,1316 dollar peu après 22h jeudi, à son niveau le plus bas depuis le 19 septembre 2003, détaille le magazine Challenges sur son site internet. La devise européenne reculait également face à la monnaie nippone, à 134,10 yens, contre 134,63 yens, proche de son plus faible niveau depuis mi-octobre. Le dollar reculait face à la devise japonaise, à 118,37 yens contre 118,52 yens la veille. »
L’offensive de la BCE qui a décide de lancer une vaste opération de rachat de dette, sur le modèle du Japon ou des Etats-Unis, porte donc ses fruits. Alors que les commentateurs s’interrogent sur les conséquences d’une telle décision, les regards se tournent petit à petit du côté de la consommation et de l’investissement.
En effet, en se lançant dans une opération de vente de la dette à hauteur de 1 140 milliards de dollars, l’autorité monétaire de l’UE veut contrer la déflation. Avec une limitation à 60 milliards de dette vendue par mois, l’opération similaire à celle opérée, à une échelle inférieure, aux Etats-Unis, visent les même objectifs : se protéger de la déflation et retrouver la croissance. Cependant, commente Challenges.fr, « L'euro devrait aussi rester sous pression à moyen terme, car le fossé se creuse entre la politique monétaire de la BCE et celle de la Réserve fédérale américaine (Fed). »
Les premiers effets sont donc là. Reste à savoir si la politique volontariste de la BCE réussira à convaincre les investisseurs et permettra une relance effective de l’industrie au sein de l’Union européenne. Saluant l’initiative, Christine Lagarde, la patronne du FMI, a affirmé qu’il ne pouvait s’agir que d’une première étape vers d’autres efforts des différents pays membres. La relance serait à ce prix.
L’offensive de la BCE qui a décide de lancer une vaste opération de rachat de dette, sur le modèle du Japon ou des Etats-Unis, porte donc ses fruits. Alors que les commentateurs s’interrogent sur les conséquences d’une telle décision, les regards se tournent petit à petit du côté de la consommation et de l’investissement.
En effet, en se lançant dans une opération de vente de la dette à hauteur de 1 140 milliards de dollars, l’autorité monétaire de l’UE veut contrer la déflation. Avec une limitation à 60 milliards de dette vendue par mois, l’opération similaire à celle opérée, à une échelle inférieure, aux Etats-Unis, visent les même objectifs : se protéger de la déflation et retrouver la croissance. Cependant, commente Challenges.fr, « L'euro devrait aussi rester sous pression à moyen terme, car le fossé se creuse entre la politique monétaire de la BCE et celle de la Réserve fédérale américaine (Fed). »
Les premiers effets sont donc là. Reste à savoir si la politique volontariste de la BCE réussira à convaincre les investisseurs et permettra une relance effective de l’industrie au sein de l’Union européenne. Saluant l’initiative, Christine Lagarde, la patronne du FMI, a affirmé qu’il ne pouvait s’agir que d’une première étape vers d’autres efforts des différents pays membres. La relance serait à ce prix.