En 2021, les acheteurs de biens immobiliers ont plus puisé dans leur épargne. « Le courtier Finance Conseil montre une progression de plus de 13% de l'apport moyen cette année par rapport à l'an dernier. On frôle les 30.000 euros par achat, contre 25.000 euros en 2020. C'est l'un des freins majeurs à l'accès au crédit immobilier. Le niveau de l'apport personnel réclamé par les banques a progressé de manière spectaculaire ces dernières années. Une étude du courtier Finance Conseil, que vous dévoile ce lundi BFM Business , en donne la mesure. Le courtier enregistre ainsi une progression de plus de 13% de l'apport moyen cette année par rapport à l'an dernier. On frôle désormais les 30.000 euros par achat, contre 25.000 euros en 2020 » explique la chaine d’infos économiques. L’Observatoire Crédit Logement avait annoncé une hausse des montants de l’apport, avançant même une augmentation de 26% par rapport à l’avant Covid.
Difficile de conclure ou d’expliquer globalement cette tendance autrement qu’en constatant que les situations sont très différentes selon les zones. On voit ainsi que les apports importants sont logiquement enregistrés dans les zones les plus chères ou celles dans lesquelles les prix augmentent le plus vite. « Et c'est dans les régions les plus dynamiques ou les plus chères que cet apport augmente le plus vite. Selon l'étude de Finance Conseil, il faut en moyenne 10.000 euros d'apport de plus que l'an dernier en Bretagne, soit une hausse de plus de 40% sur la période. En Ile-de-France, la hausse est quasi identique mais les montants sont évidemment encore plus spectaculaires. Il faut près de 25.000 euros de plus que l'an dernier. Soit près de 86.000 euros d'apport. Et c'est une moyenne.
En Aquitaine, Paca ou en Auvergne Rhône Alpes, les apports baissent Bordeaux qui est en berne voit l’emprunt moyen baisser de 20 000 euros et l’apport reculer de 2 000 euros. Mais c’est en PACA où la chute est la plus importante avec 12 000 euros de moins qu’en 2020 pour un emprunt moyen en baisse de 130 000 euros.
Difficile de conclure ou d’expliquer globalement cette tendance autrement qu’en constatant que les situations sont très différentes selon les zones. On voit ainsi que les apports importants sont logiquement enregistrés dans les zones les plus chères ou celles dans lesquelles les prix augmentent le plus vite. « Et c'est dans les régions les plus dynamiques ou les plus chères que cet apport augmente le plus vite. Selon l'étude de Finance Conseil, il faut en moyenne 10.000 euros d'apport de plus que l'an dernier en Bretagne, soit une hausse de plus de 40% sur la période. En Ile-de-France, la hausse est quasi identique mais les montants sont évidemment encore plus spectaculaires. Il faut près de 25.000 euros de plus que l'an dernier. Soit près de 86.000 euros d'apport. Et c'est une moyenne.
En Aquitaine, Paca ou en Auvergne Rhône Alpes, les apports baissent Bordeaux qui est en berne voit l’emprunt moyen baisser de 20 000 euros et l’apport reculer de 2 000 euros. Mais c’est en PACA où la chute est la plus importante avec 12 000 euros de moins qu’en 2020 pour un emprunt moyen en baisse de 130 000 euros.