Nouveau rappel de véhicules par Ford. Jeudi 29 mai, le célèbre constructeur automobile a annoncé que 915 216 exemplaires des Ford Escape et Mercury Mariner étaient rappelés. Ces modèles seraient touchés par de possibles problèmes techniques au niveau de la colonne de direction. Il y aurait donc, d’après le propre aveu à l’AFP de la société, « un risque accru d’accident ». Ce ne sont pas les seuls modèles concernés par des rappels. Ainsi, plus de 195 000 Explorer et 196 000 Taurus vont être rappelés au Canada, Etats-Unis et Mexique.
Pire, le constructeur a expliqué aux médias qu’il « avait connaissance de 15 accidents, dont deux ont fait des blessés légers, susceptibles d'être liés à un défaut de direction assistée dans des Explorer. Tous les véhicules concernés roulaient à faible vitesse au moment de l'accident, a-t-il précisé » annonce le journal Le Monde.
Pire, le constructeur a expliqué aux médias qu’il « avait connaissance de 15 accidents, dont deux ont fait des blessés légers, susceptibles d'être liés à un défaut de direction assistée dans des Explorer. Tous les véhicules concernés roulaient à faible vitesse au moment de l'accident, a-t-il précisé » annonce le journal Le Monde.
Image d’entreprise et sécurité
Au début du mois, Ford avait déjà rappelé presque 700 000 véhicules pour des problèmes techniques. Toyota aussi a été obligé en avril de prendre des mesures similaires mais c’est de loin General Motors qui détient le record avec 15,8 millions de rappels depuis le début de l’année.
Dans le secteur de la construction automobile, ce genre d’annonces peu coûter cher en matière d’image d’entreprise. Lorsque les défauts techniques peuvent avoir un incident sur la sécurité, la fiabilité des produits est naturellement remise en question par les consommateurs. Cette perte de crédibilité pose par ailleurs un problème éthique.
Les médias américains ont par exemple largement reproché à General Motors et Ford d’avoir trop attendu avant d’alerter les utilisateurs de leurs véhicules des risques. Plusieurs enquêtes visent à déterminer la responsabilité de GM dans des dossiers de rappels tardifs de modèles défectueux qui ont été impliqués dans des accidents parfois mortels. Ces affaires semblent avoir fait bouger les lignes chez les constructeurs qui optent pour des rappels plus fréquemment qu’auparavant.
Dans le secteur de la construction automobile, ce genre d’annonces peu coûter cher en matière d’image d’entreprise. Lorsque les défauts techniques peuvent avoir un incident sur la sécurité, la fiabilité des produits est naturellement remise en question par les consommateurs. Cette perte de crédibilité pose par ailleurs un problème éthique.
Les médias américains ont par exemple largement reproché à General Motors et Ford d’avoir trop attendu avant d’alerter les utilisateurs de leurs véhicules des risques. Plusieurs enquêtes visent à déterminer la responsabilité de GM dans des dossiers de rappels tardifs de modèles défectueux qui ont été impliqués dans des accidents parfois mortels. Ces affaires semblent avoir fait bouger les lignes chez les constructeurs qui optent pour des rappels plus fréquemment qu’auparavant.