Selon l’Insee, cette hausse touche l'ensemble des classes d'âge, en particulier les jeunes actifs.
Un article en ligne du journal Le Point souligne les conséquences de ce bond du taux de de chômage, qui a atteint « 10,2 % de la population active en France métropolitaine », et qui touche « plus de 2,9 millions de personnes, soit le plus haut niveau depuis 1997. »
Un article en ligne du journal Le Point souligne les conséquences de ce bond du taux de de chômage, qui a atteint « 10,2 % de la population active en France métropolitaine », et qui touche « plus de 2,9 millions de personnes, soit le plus haut niveau depuis 1997. »
« 75 000 chômeurs de plus »
L’article du Point explique qu’ « en incluant l'outre-mer, le taux de chômage mesuré par l'Institut de statistiques, selon les normes du Bureau international du travail (BIT), s'élève à 10,6 % de la population active. Il a crû de 0,2 point sur un an en métropole, et également de 0,2 point par rapport au trimestre précédent, soit 75 000 chômeurs de plus. Au total, l'Insee a recensé 2,941 millions de chômeurs en France métropolitaine. »
Il ajoute que « cette hausse touche l'ensemble des classes d'âge, mais frappe plus particulièrement les jeunes actifs (+ 1 point chez les 15-24 ans par rapport au 2e trimestre) », ajoutant qu’ « il s'agit du plus fort taux enregistré depuis le dernier trimestre 1997. Ces évolutions sont à analyser avec prudence, car elles se situent dans la marge d'erreur de +/- 0,3 point de la statistique de l'Insee. »
En outre, « les chiffres de l'Insee diffèrent de ceux de Pôle emploi, car ils ne mesurent pas le chômage de la même manière : Pôle emploi recense les demandeurs d'emploi enregistrés sur ses listes, alors que l'Insee mesure son taux à partir d'une enquête effectuée chaque trimestre auprès de 110 000 personnes. »
Mais « seul le taux de chômage de l'Insee est reconnu au niveau international. » Par ailleurs, « l'Insee relève une légère hausse du sous-emploi, c'est-à-dire essentiellement les personnes en temps partiel subi : 0,1 point de plus sur un trimestre, soit 1,7 million de personnes, en grande majorité des femmes. »
Il ajoute que « cette hausse touche l'ensemble des classes d'âge, mais frappe plus particulièrement les jeunes actifs (+ 1 point chez les 15-24 ans par rapport au 2e trimestre) », ajoutant qu’ « il s'agit du plus fort taux enregistré depuis le dernier trimestre 1997. Ces évolutions sont à analyser avec prudence, car elles se situent dans la marge d'erreur de +/- 0,3 point de la statistique de l'Insee. »
En outre, « les chiffres de l'Insee diffèrent de ceux de Pôle emploi, car ils ne mesurent pas le chômage de la même manière : Pôle emploi recense les demandeurs d'emploi enregistrés sur ses listes, alors que l'Insee mesure son taux à partir d'une enquête effectuée chaque trimestre auprès de 110 000 personnes. »
Mais « seul le taux de chômage de l'Insee est reconnu au niveau international. » Par ailleurs, « l'Insee relève une légère hausse du sous-emploi, c'est-à-dire essentiellement les personnes en temps partiel subi : 0,1 point de plus sur un trimestre, soit 1,7 million de personnes, en grande majorité des femmes. »