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Une étude rapporte que les entreprises françaises devraient augmenter les salaires d’environ 2,4%, un pourcentage bien faible comparé au Royaume-Uni et à l’Allemagne.
Un article du Point, selon une source AFP, souligne que les entreprises françaises devraient augmenter les salaires de près de 2,4%, selon une étude.
Un article du Point, selon une source AFP, souligne que les entreprises françaises devraient augmenter les salaires de près de 2,4%, selon une étude.
« Les budgets toujours plus contraints des DRH »
Selon l’article du Point, « les entreprises employant des salariés en France prévoient d'augmenter globalement les salaires de 2,4 % en 2016, nettement moins qu'au Royaume-Uni ou en Allemagne, selon l'enquête annuelle d'Aon Hewitt ». Le cabinet de conseil aux entreprises souligne que « comparée à d'autres pays, la France pratique des augmentations significativement plus faibles, surtout vis-à-vis du Royaume-Uni et de l'Allemagne. » L’article du Point ajoute que dans ces pays, « la hausse affichée par les entreprises ayant l'intention d'augmenter les salaires est de l'ordre de 2,9 % et 3 %. »
L’article souligne également les fortes disparités prévues par Aon Hewitt pour l’année 2016. En effet, selon les projections détaillées du cabinet de conseil « anticipent une progression de 1 % des augmentations générales versées à tous les salariés indépendamment de leurs performances individuelles et de 2,2 % pour les gratifications individuelles. »
L’article ajoute que « ces chiffres moyens cachent ‘de fortes disparités’ d'une entreprise à l'autre. » Le directeur rémunération globale au sein du cabinet Aon Hewitt, Vincent Cornet, a affirmé à l’AFP que ces fortes disparités se retrouvent « y compris au sein d'un même secteur, notamment dans l'automobile, l'informatique et les technologies. »
L’article du Point explique enfin, selon les propos de Vincent Cornet, qu’en France, les DRH font état de budgets « toujours plus contraints », la « rigueur salariale s'installe ». L'an dernier, ajoute l’article, « les entreprises sondées à la même époque prévoyaient pour 2015 une élévation moyenne des enveloppes salariales de 2,6 %. Mais le cabinet estime la hausse réalisée à 2,4 %. Sur l'échantillon de 390 entreprises interrogées du 1er juillet au 8 août, 1,8 % seulement disent avoir appliqué un gel des salaires en 2015 et près de 41 % affirment avoir accordé des augmentations uniquement individuelles. »
L’article souligne également les fortes disparités prévues par Aon Hewitt pour l’année 2016. En effet, selon les projections détaillées du cabinet de conseil « anticipent une progression de 1 % des augmentations générales versées à tous les salariés indépendamment de leurs performances individuelles et de 2,2 % pour les gratifications individuelles. »
L’article ajoute que « ces chiffres moyens cachent ‘de fortes disparités’ d'une entreprise à l'autre. » Le directeur rémunération globale au sein du cabinet Aon Hewitt, Vincent Cornet, a affirmé à l’AFP que ces fortes disparités se retrouvent « y compris au sein d'un même secteur, notamment dans l'automobile, l'informatique et les technologies. »
L’article du Point explique enfin, selon les propos de Vincent Cornet, qu’en France, les DRH font état de budgets « toujours plus contraints », la « rigueur salariale s'installe ». L'an dernier, ajoute l’article, « les entreprises sondées à la même époque prévoyaient pour 2015 une élévation moyenne des enveloppes salariales de 2,6 %. Mais le cabinet estime la hausse réalisée à 2,4 %. Sur l'échantillon de 390 entreprises interrogées du 1er juillet au 8 août, 1,8 % seulement disent avoir appliqué un gel des salaires en 2015 et près de 41 % affirment avoir accordé des augmentations uniquement individuelles. »