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Google pour le savoir-faire et Thalès pour le tampon tricolore. C’est certainement ce qu’avaient dans la tête les dirigeants de deux entreprises en se rapprochant pour signer un partenariat stratégique. Mercredi 6 octobre, les deux groupes ont annoncé qu’ils portaient un projet de lancement d’un « cloud de confiance » qui sera porté par une société dédiée.
« Cette alliance est une réponse directe à la nouvelle doctrine énoncée en mai par l’Etat pour l’hébergement et les services en ligne des administrations et des structures publiques. Son principe : les données doivent être maîtrisées par des entreprises françaises ou européennes, afin d’échapper aux lois extraterritoriales américaines comme le Foreign Intelligence Surveillance Act. Elle autorise toutefois ces sociétés à utiliser des briques logicielles de groupes américains. Cette politique encourage donc des offres hybrides, comme celle que créent par cet accord Google et Thales » contextualise Le Monde.
Le début de l’activité est annoncé pour l’année prochaine avec l’ouverture de sites de stockage en région parisienne. « Pour bénéficier du « meilleur des deux mondes », chacun des partenaires y apportera son expertise : Google proposera sa riche offre de logiciels en ligne, de l’intelligence artificielle à la gestion de bases de données ; Thales sa garantie sur la souveraineté des données et son expertise sur la cybersécurité, par exemple pour la gestion des clés de chiffrement des données, qu’elle fournit déjà parfois à Google ou ses concurrents comme Amazon ou Microsoft » continue le journal.
Thalès a tout de suite expliqué que son rôle ne serait pas celui d’un « sponsor » français et que c’est bien le groupe qui aura la charge de la gouvernance, sans que les montants et répartitions de parts ne soit officiel. Pour Google c’est la continuité d’une stratégie d’appui sur des sociétés locales, à l’image de Microsoft avec Capgemini et Orange pour une version française des logiciels de bureautique.
« Cette alliance est une réponse directe à la nouvelle doctrine énoncée en mai par l’Etat pour l’hébergement et les services en ligne des administrations et des structures publiques. Son principe : les données doivent être maîtrisées par des entreprises françaises ou européennes, afin d’échapper aux lois extraterritoriales américaines comme le Foreign Intelligence Surveillance Act. Elle autorise toutefois ces sociétés à utiliser des briques logicielles de groupes américains. Cette politique encourage donc des offres hybrides, comme celle que créent par cet accord Google et Thales » contextualise Le Monde.
Le début de l’activité est annoncé pour l’année prochaine avec l’ouverture de sites de stockage en région parisienne. « Pour bénéficier du « meilleur des deux mondes », chacun des partenaires y apportera son expertise : Google proposera sa riche offre de logiciels en ligne, de l’intelligence artificielle à la gestion de bases de données ; Thales sa garantie sur la souveraineté des données et son expertise sur la cybersécurité, par exemple pour la gestion des clés de chiffrement des données, qu’elle fournit déjà parfois à Google ou ses concurrents comme Amazon ou Microsoft » continue le journal.
Thalès a tout de suite expliqué que son rôle ne serait pas celui d’un « sponsor » français et que c’est bien le groupe qui aura la charge de la gouvernance, sans que les montants et répartitions de parts ne soit officiel. Pour Google c’est la continuité d’une stratégie d’appui sur des sociétés locales, à l’image de Microsoft avec Capgemini et Orange pour une version française des logiciels de bureautique.