Depuis le confinement c’est une idée qui revient régulièrement. Basée sur l’observation de deux données claires causées par cette période : l’augmentation de l’épargne des ménages et le besoin de financement des entreprises. « Investir 5000 euros dans 1500 PME, c'est ce que va permettre le nouveau fonds ouvert aux particuliers, dévoilé aujourd'hui par Bercy et BPIfrance. À la clé, un rendement promis dix à quinze fois supérieur à celui d'un Livret A, mais quid des risques d'un investissement jusque-là réservé au monde de la finance ? » s’interroge à juste titre LCI.
Ce capital-investissement, version petits épargnants est une bonne idée. C’est une approche de la finance basée sur l’économie réelle. En participant au succès des entreprises c’est de la richesse et des emplois qui sont créés grâce à l’épargne. Mais effectivement, la question du rendement est centrale. Même si le dispositif a été pensé pour limiter les risques, le succès des entreprises est déterminant. « Pour étaler le risque du placement, celui-ci est diversifié, entre 1500 entreprises petites et moyennes, dans tous les secteurs. "Il y a des PME, des startups, des ETI, l'essentiel ont moins de 200 employés, et ce dans tous les secteurs, un tiers ont de forts accents technologiques, mais il y en a aussi dans les services, l'industrie, la santé...", détaille le patron de BPIfrance. Dans le lot, 90% ne sont pas cotées en Bourse, et si quelques-unes sont européennes, l'essentiel sont bien françaises. De quoi éviter de risquer son épargne sur le destin d'une seule entreprise ou d'un secteur en particulier. "En plaçant 5000 euros, c'est comme si vous misiez un peu plus de trois euros sur chacune d'entre elles", sourit Nicolas Dufourcq » lit-on sur le site de la chaine d’infos de TF1.
Car si le rendement visé est entre 5 et 7% contre 0,5% pour le Livret A, les comparer n’est pas forcément pertinent. Car il s’agit en fait d’un investissement ouvert aux partculiers et non d’une épargne disponible puisque les fonds sont bloqués cinq ans.
Ce capital-investissement, version petits épargnants est une bonne idée. C’est une approche de la finance basée sur l’économie réelle. En participant au succès des entreprises c’est de la richesse et des emplois qui sont créés grâce à l’épargne. Mais effectivement, la question du rendement est centrale. Même si le dispositif a été pensé pour limiter les risques, le succès des entreprises est déterminant. « Pour étaler le risque du placement, celui-ci est diversifié, entre 1500 entreprises petites et moyennes, dans tous les secteurs. "Il y a des PME, des startups, des ETI, l'essentiel ont moins de 200 employés, et ce dans tous les secteurs, un tiers ont de forts accents technologiques, mais il y en a aussi dans les services, l'industrie, la santé...", détaille le patron de BPIfrance. Dans le lot, 90% ne sont pas cotées en Bourse, et si quelques-unes sont européennes, l'essentiel sont bien françaises. De quoi éviter de risquer son épargne sur le destin d'une seule entreprise ou d'un secteur en particulier. "En plaçant 5000 euros, c'est comme si vous misiez un peu plus de trois euros sur chacune d'entre elles", sourit Nicolas Dufourcq » lit-on sur le site de la chaine d’infos de TF1.
Car si le rendement visé est entre 5 et 7% contre 0,5% pour le Livret A, les comparer n’est pas forcément pertinent. Car il s’agit en fait d’un investissement ouvert aux partculiers et non d’une épargne disponible puisque les fonds sont bloqués cinq ans.