Fleur Pellerin, l'ex-ministre de la Culture, « va créer une société privée pour accompagner les investissements coréens en France, après avoir démissionné de la fonction publique, a révélé le JDD », explique un article en ligne du journal Le Point, d’après une dépêche AFP.
Il ajoute que « pour des soucis d'éthique, elle a démissionné de la Cour des comptes et de la fonction publique, renonçant au filet de sécurité d'une possible réintégration en cas d'échec. Elle a expliqué ce choix à François Hollande dans une lettre où elle affirme ne pas vouloir faire supporter à la collectivité le prix de sa tranquillité, précise le JDD. »
Il ajoute que « pour des soucis d'éthique, elle a démissionné de la Cour des comptes et de la fonction publique, renonçant au filet de sécurité d'une possible réintégration en cas d'échec. Elle a expliqué ce choix à François Hollande dans une lettre où elle affirme ne pas vouloir faire supporter à la collectivité le prix de sa tranquillité, précise le JDD. »
Une structure baptisée Korelya
Mi-février, lors du remaniement gouvernemental, Fleur Pellerin « a été remplacée par la conseillère de François Hollande Audrey Azoulay, une éviction à laquelle elle ne s'attendait pas. Les jours suivants, elle avait déclaré à L'Obs ‘ne pas pouvoir imaginer une seconde ne pas jouer un rôle dans le destin de ce pays.’ »
L’article du Point précise que, « native de Séoul où elle avait été abandonnée dans les rues après sa naissance, adoptée à 6 mois par une famille française, elle va créer une structure baptisée Korelya, afin d'accompagner les investissements coréens en nouvelles technologies dans l'Hexagone. »
La Haute Autorité de la transparence de la vie politique, « chargée de vérifier l'absence de conflit d'intérêts pour les fonctionnaires qui partent dans le privé, a été consultée et a émis un avis favorable. »
Lire l’intégralité de l’article du Point ici.
L’article du Point précise que, « native de Séoul où elle avait été abandonnée dans les rues après sa naissance, adoptée à 6 mois par une famille française, elle va créer une structure baptisée Korelya, afin d'accompagner les investissements coréens en nouvelles technologies dans l'Hexagone. »
La Haute Autorité de la transparence de la vie politique, « chargée de vérifier l'absence de conflit d'intérêts pour les fonctionnaires qui partent dans le privé, a été consultée et a émis un avis favorable. »
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