C’est en tout cas la dernière déconvenue de son quinquennat. François Hollande, qui a répété continuellement depuis cinq ans que la baisse du chômage était sa priorité, va partir sur une note négative. D’après les chiffres du ministère du Travail, le nombre de chômeurs inscrits à augmenter de 43 700 pour un total de 3,77 millions de personnes. « Ce résultat, le plus mauvais depuis janvier 2013, assombrit la tendance sur les trois premiers mois de l'année, avec 41.000 chômeurs supplémentaires depuis janvier. Il ternit considérablement l'inversion de la courbe promise depuis 2013 par François Hollande et qui s'était enfin amorcée en 2016, avec 105.400 chômeurs de moins » résume Le Point.
Durant les cinq années de présidence de François Hollande, 585 000 demandeurs d’emploi supplémentaires ont été comptabilisés. Sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy, ce chiffre s’élevait à 745 000. « La hausse de mars est essentiellement due au fait que de nombreux contrats courts n'ont pas été renouvelés, faisant basculer des personnes exerçant une petite activité dans la catégorie des chômeurs sans aucune activité. Ainsi, en comptant les demandeurs d'emploi exerçant une petite activité, les statistiques reculent sur un mois de 0,2 %, avec 5,5 millions de personnes, mais elles augmentent sur un an » continue le magazine.
Les chiffres ne sont mauvais donc mais il faut tout de même reconnaître que le nombre de chômeurs de longue durée reste faible avec près de 2,5 millions de personnes concernées soit une baisse de 2,7% par rapport à l’an dernier à la même période. Le ministère qui a commenté pour la dernière fois ces chiffres veut tout de même rester optimiste et parle d’une situation normale dans un contexte de reprise économique, « faisant valoir que les autres indicateurs du marché du travail sont au vert: nombre record de créations d'emplois en 2016 (187.200) depuis 2007, déclarations d'embauche au premier trimestre 2017 à un plus haut historique... » rapporte Le Point.
Durant les cinq années de présidence de François Hollande, 585 000 demandeurs d’emploi supplémentaires ont été comptabilisés. Sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy, ce chiffre s’élevait à 745 000. « La hausse de mars est essentiellement due au fait que de nombreux contrats courts n'ont pas été renouvelés, faisant basculer des personnes exerçant une petite activité dans la catégorie des chômeurs sans aucune activité. Ainsi, en comptant les demandeurs d'emploi exerçant une petite activité, les statistiques reculent sur un mois de 0,2 %, avec 5,5 millions de personnes, mais elles augmentent sur un an » continue le magazine.
Les chiffres ne sont mauvais donc mais il faut tout de même reconnaître que le nombre de chômeurs de longue durée reste faible avec près de 2,5 millions de personnes concernées soit une baisse de 2,7% par rapport à l’an dernier à la même période. Le ministère qui a commenté pour la dernière fois ces chiffres veut tout de même rester optimiste et parle d’une situation normale dans un contexte de reprise économique, « faisant valoir que les autres indicateurs du marché du travail sont au vert: nombre record de créations d'emplois en 2016 (187.200) depuis 2007, déclarations d'embauche au premier trimestre 2017 à un plus haut historique... » rapporte Le Point.