Le 4 février 2004, cinq étudiants de l’Université de Harvard lançaient Facebook. L’idée était bonne mais rien ne permettait de prédire le succès planétaire du réseau social. « 15 ans plus tard, le petit réseau de copains de la plus prestigieuse des universités américaines est devenu un ogre omniprésent, omnipotent et ultra-addictif. Avec 2,3 milliards d'usagers actifs mensuels dans le monde (en France, 27 millions de personnes se connectent chaque jour à la plateforme), le premier réseau social du monde est devenu un véritable empire qui pèse près de 500 milliards de dollars en Bourse et qui dégage 22 milliards de bénéfice net annuel ! Si l'on y ajoute Instagram racheté en 2012 (un milliard de dollars) et WhatsApp racheté en 2014 (près de 20 milliards de dollars), le groupe rassemble chaque mois plus de 2,7 milliards d'usagers. Une force de frappe qui fait saliver tous les publicitaires du monde, la pub étant le nerf de la guerre de la plateforme qui permet, grâce à ses redoutables algorithmes, de cibler ses usagers de manière très fine, notamment en exploitant les données personnelles » relève Les Numériques.
Avec le succès, et aussi un business model qui repose sur la monétisation des données des utilisateurs, Facebook a aussi rencontré d’énormes difficultés en quelques années d’existence. Résultat, le sympathique réseau social a désormais une image très négative face à laquelle le groupe cherche à lutter. « Mark Zuckerberg et son indispensable numéro 2, Sheryl Sandberg, tentent depuis des mois de déminer le terrain en multipliant les actes de contrition. Et si le chiffre d'affaires a dépassé les 50 milliards de dollars en 2018, le réseau social va devoir se réinventer pour attirer vers lui des jeunes générations qui ont tendance à lui préférer Instagram et Snapchat et pour tenter de redorer son image » conclue le site spécialisé.
Avec le succès, et aussi un business model qui repose sur la monétisation des données des utilisateurs, Facebook a aussi rencontré d’énormes difficultés en quelques années d’existence. Résultat, le sympathique réseau social a désormais une image très négative face à laquelle le groupe cherche à lutter. « Mark Zuckerberg et son indispensable numéro 2, Sheryl Sandberg, tentent depuis des mois de déminer le terrain en multipliant les actes de contrition. Et si le chiffre d'affaires a dépassé les 50 milliards de dollars en 2018, le réseau social va devoir se réinventer pour attirer vers lui des jeunes générations qui ont tendance à lui préférer Instagram et Snapchat et pour tenter de redorer son image » conclue le site spécialisé.