Facebook poursuit sa quête de monétisation et de séduction des annonceurs avec la mise en place d’un nouveau service d’achat en ligne, testé actuellement aux Etats-Unis. Dans un premier temps, cette fonction ne sera effective qu’avec un nombre restreint de petites et moyennes entreprises américaines. Mais s’il fait ses preuves, ce dispositif permettant à l’utilisateur d’acquérir instantanément un bien via le réseau social, sera étendu à un plus grand nombre de commerçants.
Un bouton « J’achète » est ainsi intégré aux publicités apparaissant dans le fil d’actualité de l’utilisateur, et lorsque celui-ci clique sur « J’achète », toute la transaction, y compris la confirmation de la carte de crédit et l’expédition du produit, se concluent instantanément via Facebook. Une aubaine pour les annonceurs qui devraient voir rapidement leurs ventes augmenter et leur taux de conversion amélioré.
Le modèle économique de ce nouveau dispositif se fera en deux étapes. Il s'agit dans un premier temps d'attirer les annonceurs ; ainsi aucune commission ne sera prélevée sur les achats. Mais en cas de succès, cette position pourra alors évoluer.
Si ce type de fonctionnalité n’est pas monnaie courante sur les réseaux sociaux, le géant américain n’en est pourtant pas l’initiateur. En effet, Twitter avait déjà émis cette idée quelques semaines plus tôt, en permettant à l’utilisateur de partager un produit via l’application commerciale Fancy ou même en permettant aux clients du site Amazon d’ajouter un produit à leur panier via un simple tweet.
Un bouton « J’achète » est ainsi intégré aux publicités apparaissant dans le fil d’actualité de l’utilisateur, et lorsque celui-ci clique sur « J’achète », toute la transaction, y compris la confirmation de la carte de crédit et l’expédition du produit, se concluent instantanément via Facebook. Une aubaine pour les annonceurs qui devraient voir rapidement leurs ventes augmenter et leur taux de conversion amélioré.
Le modèle économique de ce nouveau dispositif se fera en deux étapes. Il s'agit dans un premier temps d'attirer les annonceurs ; ainsi aucune commission ne sera prélevée sur les achats. Mais en cas de succès, cette position pourra alors évoluer.
Si ce type de fonctionnalité n’est pas monnaie courante sur les réseaux sociaux, le géant américain n’en est pourtant pas l’initiateur. En effet, Twitter avait déjà émis cette idée quelques semaines plus tôt, en permettant à l’utilisateur de partager un produit via l’application commerciale Fancy ou même en permettant aux clients du site Amazon d’ajouter un produit à leur panier via un simple tweet.