Éditorialistes & Contributeurs
Corporate management
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Le parallèle est éclairant. D’un côté la Chine publie son taux de croissance le plus faible depuis des années, de l’autre les Etats-Unis un record. Avec 2,9% de progression du PIB en 2018, les Etats-Unis ont enregistré le meilleur résultat depuis 2005. « La publication de la statistique du PIB a été retardée par le blocage (shutdown du 22 décembre au 25 janvier), qui a perturbé la collecte et le traitement des données économiques. Le département du commerce estime que les réductions de services fournis par les fonctionnaires ont coûté un dixième de point de pourcentage à la croissance au 4e trimestre. Il note aussi que les incendies de Californie ont affecté l’activité, sans pouvoir toutefois en mesurer l’impact » précise Le Monde .
Même si l’objectif affiché par le gouvernement était de 3% pour l’année, le résultat est excellent. D’autant que dans un contexte de guerre économique avec la Chine, un bilan économique solide soutient la stratégie très offensive menée par Donald Trump. Les exportations sont même remontées de 1,6% au dernier trimestre après avoir chuté de 4,9% au troisième. « L’expansion de la première économie mondiale a été portée par le stimulus budgétaire de l’administration Trump avec les réductions d’impôt et les augmentations de dépenses dans la défense notamment. Donald Trump a un objectif affiché d’une croissance de 3 %, voire supérieure sur plusieurs années. Pour cette année aussi, la Maison Blanche mise toujours sur une expansion de 3 %, comme l’a récemment dit un conseiller économique du président Kevin Hassett. La plupart des économistes craignent toutefois un ralentissement sous l’effet de l’affaiblissement de l’économie mondiale. La Banque centrale américaine prévoit une croissance de 2,3 % cette année pour les Etats-Unis, le FMI est un peu plus optimiste à 2,5 % », continue le quotidien. Ce qui est décevant outre atlantique, reste inaccessible de notre côté de l’Océan.
Même si l’objectif affiché par le gouvernement était de 3% pour l’année, le résultat est excellent. D’autant que dans un contexte de guerre économique avec la Chine, un bilan économique solide soutient la stratégie très offensive menée par Donald Trump. Les exportations sont même remontées de 1,6% au dernier trimestre après avoir chuté de 4,9% au troisième. « L’expansion de la première économie mondiale a été portée par le stimulus budgétaire de l’administration Trump avec les réductions d’impôt et les augmentations de dépenses dans la défense notamment. Donald Trump a un objectif affiché d’une croissance de 3 %, voire supérieure sur plusieurs années. Pour cette année aussi, la Maison Blanche mise toujours sur une expansion de 3 %, comme l’a récemment dit un conseiller économique du président Kevin Hassett. La plupart des économistes craignent toutefois un ralentissement sous l’effet de l’affaiblissement de l’économie mondiale. La Banque centrale américaine prévoit une croissance de 2,3 % cette année pour les Etats-Unis, le FMI est un peu plus optimiste à 2,5 % », continue le quotidien. Ce qui est décevant outre atlantique, reste inaccessible de notre côté de l’Océan.
