Beaucoup continueront à travailler. Mais ceux qui ne le peuvent pas et ceux que l’incertitude plombe, ce nouveau confinement est une catastrophe. « Beaucoup de PME, sous-traitants et indépendants subissent déjà les dégâts liés aux fermetures des grands sites sans vraiment de possibilité de rebondir à court terme. Avec eux, c'est le scénario de la reprise attendue qui s'assombrit. Ce second confinement viendra nécessairement affaiblir les courbes en U, V, W, K ou en aile d'oiseau. Au lendemain de son pire plongeon en plus d'un mois, après avoir perdu près de 4%, la Bourse de Paris a ouvert quasi stable jeudi matin après l'intervention du président de la République. Dans l'attente du positionnement de la BCE donnée dans la journée, l'indice CAC 40 prenait 0,01 point à 09H00 à 4.571,13 points » raconte La Tribune.
Car, selon le Medef, les interventions de l’État plus les pertes en tous genres vont faire baisser de 50 à 70 milliards d’euros le PIB. « L'impact du confinement sera-t-il aussi fort qu'au printemps ? En avril dernier, mois entièrement passé sous le régime du confinement, l'activité avait chuté de plus de 30% en France.L'impact devrait être un peu moindre cette fois, les restrictions étant moins importantes, avec un télétravail généralisé autant que possible mais une activité qui se poursuivra, notamment dans les services publics, les usines, les exploitations agricoles et le BTP, a indiqué le président de la République mercredi soir » continue le magazine économique.
Mais si les entreprises qui avaient réussi à s’adapter repasseront sur le même mode de fonctionnement qu’au printemps, pour les secteurs du tourisme et de la restauration le cauchemar se poursuit. Mais aussi pour tous les entrepreneurs ou indépendants qui sont incapables de se projeter, d’obtenir des financements ou de faire des prévisions de développement. L’arbitraire et l’imprévu, c’est ce qui fera le plus de dégât dans notre tissu économique.
Car, selon le Medef, les interventions de l’État plus les pertes en tous genres vont faire baisser de 50 à 70 milliards d’euros le PIB. « L'impact du confinement sera-t-il aussi fort qu'au printemps ? En avril dernier, mois entièrement passé sous le régime du confinement, l'activité avait chuté de plus de 30% en France.L'impact devrait être un peu moindre cette fois, les restrictions étant moins importantes, avec un télétravail généralisé autant que possible mais une activité qui se poursuivra, notamment dans les services publics, les usines, les exploitations agricoles et le BTP, a indiqué le président de la République mercredi soir » continue le magazine économique.
Mais si les entreprises qui avaient réussi à s’adapter repasseront sur le même mode de fonctionnement qu’au printemps, pour les secteurs du tourisme et de la restauration le cauchemar se poursuit. Mais aussi pour tous les entrepreneurs ou indépendants qui sont incapables de se projeter, d’obtenir des financements ou de faire des prévisions de développement. L’arbitraire et l’imprévu, c’est ce qui fera le plus de dégât dans notre tissu économique.