Un retour de balancier qui était prévisible. « Les prélèvements fiscaux sur les salaires sont repartis à la hausse en 2021 dans la plupart des pays de l'OCDE, du fait de la reprise économique et de l'allègement de dispositifs d'aide liés au Covid-19, selon un rapport publié mardi. « L'imposition du travail a rebondi au sein de l'OCDE en 2021, alors que les pays se relevaient de la contraction économique vécue en 2020 avec l'émergence de la pandémie », écrit dans une étude de près de 700 pages l'Organisation de coopération et de développement économiques, basée à Paris » nous apprend Le Figaro .
Par rapport à 2021, l’augmentation des salaires moyens et la levée des dispositifs de soutien ont eu un impact global évident. « L'OCDE définit le «coin fiscal» comme le total des impôts sur le revenu et cotisations sociales, diminué des prestations sociales. Cet indicateur est exprimé en pourcentage des coûts de main-d'œuvre pour un salarié moyen. Dans son étude, l'organisation distingue plusieurs types de foyers fiscaux, des travailleurs célibataires sans enfant aux couples d'actifs avec deux enfants. Pour la première catégorie, le «coin fiscal» moyen s'est établi en 2021 à 34,6%, enregistrant une hausse pour «24 des 38 pays» » continue le quotidien français.
Au-delà de la tendance générale, l’étude rappelle les différences très importantes entre les pays. Ainsi en haut du classement on retrouve la Belgique avec un taux de 52,5% et tout en bas le Chili avec 7%. La France est en quatrième position des pays de l’OCDE avec 47%, soit bien au-dessus de la charge fiscale moyenne détaillée par Le Figaro : « Pour un couple d'actifs avec deux enfants, la charge fiscale moyenne au sein de l'OCDE a elle atteint 28,8% en 2021, contre 24,6% pour un même foyer disposant d'un seul salaire. En France, le coin fiscal moyen pour un travailleur célibataire s'est établi à 47% en 2021, contre 46,6% un an plus tôt, ce qui en fait le 4e plus haut taux de l'OCDE. À 39%, il est le plus élevé des 38 pays pour un travailleur marié avec deux enfants . »
Par rapport à 2021, l’augmentation des salaires moyens et la levée des dispositifs de soutien ont eu un impact global évident. « L'OCDE définit le «coin fiscal» comme le total des impôts sur le revenu et cotisations sociales, diminué des prestations sociales. Cet indicateur est exprimé en pourcentage des coûts de main-d'œuvre pour un salarié moyen. Dans son étude, l'organisation distingue plusieurs types de foyers fiscaux, des travailleurs célibataires sans enfant aux couples d'actifs avec deux enfants. Pour la première catégorie, le «coin fiscal» moyen s'est établi en 2021 à 34,6%, enregistrant une hausse pour «24 des 38 pays» » continue le quotidien français.
Au-delà de la tendance générale, l’étude rappelle les différences très importantes entre les pays. Ainsi en haut du classement on retrouve la Belgique avec un taux de 52,5% et tout en bas le Chili avec 7%. La France est en quatrième position des pays de l’OCDE avec 47%, soit bien au-dessus de la charge fiscale moyenne détaillée par Le Figaro : « Pour un couple d'actifs avec deux enfants, la charge fiscale moyenne au sein de l'OCDE a elle atteint 28,8% en 2021, contre 24,6% pour un même foyer disposant d'un seul salaire. En France, le coin fiscal moyen pour un travailleur célibataire s'est établi à 47% en 2021, contre 46,6% un an plus tôt, ce qui en fait le 4e plus haut taux de l'OCDE. À 39%, il est le plus élevé des 38 pays pour un travailleur marié avec deux enfants . »