Le rapport d’étape intitulé « Les métiers en 2022 » et réalisé par France Stratégie et le ministère du Travail, se fonde sur un scénario médian « qui reste relativement prudent », avec une croissance moyenne de 1,5% par an environ et un taux de chômage qui régresserait à l’horizon 2022 pour s’établir à 8%.
D’après cette étude, entre 735 000 et 830 000 postes seront à pourvoir chaque année entre 2012 et 2022. Les postes à pourvoir seront particulièrement nombreux parmi les agents d’entretien, les aides à domicile, les enseignants, les aides-soignants et infirmiers, les cadres des services administratifs, comptables et financiers, les conducteurs de véhicules et les vendeurs.
Ainsi, la tertiarisation des emplois devrait se poursuivre : les métiers du commerce et des services devraient continuer à se développer. Dans les services, certains emplois administratifs de la fonction publique et des emplois de secrétaires devraient connaître cependant un repli. Les métiers industriels quant à eux se stabiliseront.
A noter que 80% de ces 800 000 emplois correspondent à des départs en fin de carrières. Les autres sont des créations nettes d’emploi. En termes de qualifications, « l’emploi continuerait de connaître une relative polarisation, […] avec une forte progression de l’emploi dans les métiers très qualifiés, principalement les métiers de cadres. »
D’après cette étude, entre 735 000 et 830 000 postes seront à pourvoir chaque année entre 2012 et 2022. Les postes à pourvoir seront particulièrement nombreux parmi les agents d’entretien, les aides à domicile, les enseignants, les aides-soignants et infirmiers, les cadres des services administratifs, comptables et financiers, les conducteurs de véhicules et les vendeurs.
Ainsi, la tertiarisation des emplois devrait se poursuivre : les métiers du commerce et des services devraient continuer à se développer. Dans les services, certains emplois administratifs de la fonction publique et des emplois de secrétaires devraient connaître cependant un repli. Les métiers industriels quant à eux se stabiliseront.
A noter que 80% de ces 800 000 emplois correspondent à des départs en fin de carrières. Les autres sont des créations nettes d’emploi. En termes de qualifications, « l’emploi continuerait de connaître une relative polarisation, […] avec une forte progression de l’emploi dans les métiers très qualifiés, principalement les métiers de cadres. »